Message de Gaïa du 12 février 2016

Gaïa, je suis Gaïa. Gaïa est un nom que vous m’avez donné parmi d’autres. Terre Mère également. Qu’importe en réalité ces divers noms si vous ne savez pas réellement qui je suis.

Je suis une partie de vous, de l’Univers, du Tout. En cela, je suis vous, je suis moi, je suis nous. Nous ne faisons qu’un. Il est juste de la répéter sans cesse pour qui est en mesure d’en prendre conscience.

Vous êtes d’ailleurs de plus en plus nombreux à vous retrouver dans ce cas. Et je m’en réjouis. Oui, vous retrouver. Émilie a voulu écrire « trouver ». Mais je m’explique de ce terme « retrouver ». Re signifie de nouveau. Donc de nouveau, vous vous réveillez, vous entrez en communication avec l’Un. Vous tendez à cela… par différentes méthodes ou techniques qu’il vous appartient d’expérimenter. Ces méthodes, quelles qu’elles soient vous conduisent à un retour vers mon Êtreté pour arriver enfin à la vôtre.

Nous ne faisons qu’Un. Soyez-en fiers et évitez toute peur.

Je porte vos peurs depuis trop longtemps. Elles m’ulcèrent en mon sein et à ma surface.

Je suis Gaïa, votre Mère, celle qui vous nourrit. Je vous nourris de ce que vous me nourrissez tel un véritable miroir, un révélateur.

Je suis Gaïa, votre amie depuis toujours. J’ai accueilli vos pères maladroits, défaillants et désordonnés. J’ai accueilli vos mères serviles et déjà soumises.

Mais à leur différence, je ne le suis pas. Et je me suis toujours fait aidée des astres, mes frères et sœurs afin de vous le faire savoir.

Et je continuerai dans ce sens.

C’est ma raison d’être. Je suis votre école et votre enseignant tout à la fois. Qui êtes-vous pour mépriser d’autres de vos frères ? Qui méprisez-vous à ce point en vous pour que vous arriviez à cela ?

Lavez vos mémoires. Il est temps. Vrillez, dansez, chantez et revenez à la joie profonde de l’enfant présent en vous.

J’ai été amenée ici par mes maîtres moi-aussi. J’ai une âme moi-aussi, ce que les égyptiens appellent Bâ. Je vis, je suis enivrée, soûle de vous. Et pourtant, je ne peux vivre sans vous. Il faudrait me faire violence pour me séparer de vous. En effet, cela est ma mission de vous accueillir.

Question : Gaïa, resteras-tu toujours une planète école ?

Je ne le crois pas. Je n’en ai pas envie. Maintenant il est temps pour moi de m’élever. J’ai fait mon temps dans cette position. Je suis libre à présent d’avancer à ma guise.

Question : Est-ce à dire que nous devrons te quitter ?

Tôt ou tard oui. Mais une autre vie se développera en mon sein et à ma surface. Pour les yeux juvéniles, je ressemblerai à un astre éteint. Mais pour les yeux éveillés, je serai vivante comme jamais.

Cela aura lieu dans peu de temps à mon échelle. Mais pour vous, vous avez encore des milliers de siècle devant vous pour vivre et renaître encore et encore. Vous aurez à me supporter. Mes frasques ne vous feront pas rire. Elles vont vous remettre en question et c’est bien mon objectif.

Peu à peu, l’égo va laisser place à l’amour.

Pour moi, c’est demain. Pour vous, c’est encore loin. Vous, mes frères et mes sœurs soumis au Ki, à la 3D.

Nonobstant mon ignorance de bien des choses, nous serons amenés à être séparés. Tous ? Pas tout à fait. Certains d’entre vous pourront rester en moi sous une autre forme. Ils seront appelés en temps et en heure. Ne vous croyez pas de ceux-là. Il est bien trop tôt pour décider.

Vous, mes gardiens, vous saurez quand sera venu le temps. Le temps des échanges, le temps de la fin…

Veillez sur vos frères ignorants, veillez-les. Je vous en prie. Veillez-les comme vos propres enfants.

Libérez-les en les enseignant et en leur transmettant vos savoirs.

Transmettez mon énergie et mon amour. Transmettez ma joie et ma souffrance pour une plus grande prise de conscience, une prise de conscience collective, une prise de conscience massive.

Retirez vos harpons de ma surface et travaillez ma matière avec douceur, comme on étale une crème avec douceur et fermeté à la surface de la peau humaine. Nourrissez-moi de la Vie et non pas de la mort. Et vous renaîtrez. Bénis soit le royaume d’où vous êtes venus. Il ne tient qu’à vous de le recréer ici même, il ne tient qu’à vous de redistribuer ses richesses à chacun. Nous sommes Un. Soyez bénis.

Réfléchissez. Je suis votre miroir. Je suis votre demeure. Vous déménagerez quand vous évoluerez. Pas avant. Alors que décidez-vous ?

Question : Gaïa, tu nous encourages à travailler sur nous-mêmes ?

Bien évidemment, tel est un bon enseignant. Je viens vous présenter vos mauvaises notes, vous dire que vous pouvez vous améliorer.

Question : Dis-moi Gaïa, les personnes qui lisent cela sont déjà sur le chemin ?

Ils ont déjà la prise de conscience d’avoir de mauvaises notes et pouvoir être meilleurs.

Question : N’y-a-t-il pas un jugement lorsqu’on parle d’être meilleur ?

Bien sûr ma fille. Tel est le cas chez vous, bien souvent, mais pas chez moi. Et meilleur pour moi implique une plus haute vibration, une vibration d’amour et de bienveillance à l’égard de vous-même. Vous êtes emplis d’amour mais vous ne voyez plus cet amour qui vous habite et qui vous caractérise.

Vous êtes des êtres parfaits car vous êtes des êtres d’amour. Encore faut-il que vous vous en rappeliez.

Soyez sûrs que je ne vous y aiderai pas de la manière dont vous souhaitez, mais plutôt à ma manière, en étant moi-même, juste moi-même et en poursuivant mon évolution.

Je suis lasse parfois de vos turpitudes. La pitié chez moi n’existe pas. Seule la compassion elle, m’inspire amour et respect à votre égard. Je ne suis bienveillante qu’auprès de tous et non pas de manière individualisée.

Il n’existe aucun privilégié parmi mes relations avec les humains et je devrais même préciser parmi tous les êtres qui me peuplent.

Je suis lasse souvent de devoir vous le répéter. Et trop nombreux encore sont ceux qui ne m’entendent pas… bien trop nombreux.

Soyez les relais de mes paroles, de mes pensées, de ma conscience auprès de tous. Je suis là autour de vous, auprès de vous, en vous.

Je vous aime malgré et pour ce que vous êtes. Je ne cesse de vous le dire. Voilà bien une leçon à apprendre. Voilà ce qu’est l’amour inconditionnel. Bien d’autres vous enseignent cela. Veillez sur eux, comme sur vos métaux les plus précieux.

Question : Parles-tu des animaux ?

Oui bien sûr. Mais ils ne sont pas les seuls Émilie. D’autres êtres non incarnés et pourtant présents à ma surface vous aident, vous soutiennent et vous aiment tels que vous êtes. Si vous étiez davantage centrés et moins parasités par les miroirs aux alouettes, vous les verriez.

Question : Que veux-dire « miroirs aux alouettes » ?

Je parle de toutes manifestations matérielles qui vous abreuvent d’un nectar qui vous aliène et vous obscurcit vos sens subtils : télévision, portable, médicaments et toute manifestation qui vise à vous faire oublier qui vous êtes vraiment.

Je ne peux vous en blâmer. Vous n’êtes pas coupable de cela. Mais en lisant ces lignes, si vous ne tentez pas d’aller plus loin à présent dans votre réflexion, vous devenez alors pleinement responsables de la situation.

Cette responsabilité vous incombe et vous oblige. Elle vous oblige à la liberté, à retrouver cette liberté, mais plus dans des bains de sang, ni dans la violence.

Le retour à Soi et à votre liberté passe par une réappropriation de votre âme, de votre essence, de votre pureté originelle.

Le Bâ est de nouveau à conquérir avec une opiniâtreté bienveillante envers vous-même et autrui. Cela est possible, bien évidemment. Je l’ai fait et je continue de le faire.

Oui, moi Gaïa. Je le fais. Et j’y suis aidée par mes frères et sœurs.

Personne ne peut me souiller durablement.

En vérité, vous n’avez jamais atteint mon cœur. Tout ce qui se passe n’est qu’une mascarade. On cherche à vous instrumentaliser en mon nom, à vous faire croire que tous les changements climatiques sont de votre faute. C’est faux. Vous n’êtes responsables que d’une infime partie. Et le plus grand danger de vos pratiques est pour vous. Vous vous empoisonnez.

Vous me voyez passive, alors que je possède une force qui vous est inconnue, que vous ne savez pas mesurer. J’ai cette force de la Source, ma Mère, mon Père, mon héritage.

Cet Amour non mesurable et tellement palpable que je lui dois.

Je suis là. M’entendez-vous ? J’aimerais vous dire la force qui vous habite, mais vous ne pouvez que la deviner actuellement ! C’est insuffisant à présent. Maintenant, il vous faut la retrouver, la vivre, l’aimer, l’expérimenter.

Message de Gaïa, transmis par ELM

Le 12 février 2016

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