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Faire son jardin avec les êtres de la nature

Nous vivons et évoluons dans un monde multidimensionnel. Cela signifie notamment que dans des espaces ou plans parallèles au nôtre, du moins celui que nous percevons le plus facilement (le plan physique), d’autres êtres vivent également.

C’est le cas des êtres de la nature. Comme leur nom l’indique, ce sont des êtres qui œuvrent pour la nature, y compris pour nous-mêmes. Ils sont rattachés à des éléments, d’où l’autre nom qu’on peut leur donner « élémentaux ». Ils travaillent ainsi avec l’eau, l’air, la terre et le feu.

Solliciter les élémentaux

Et nous pouvons les solliciter tels des amis pour avoir un petit coup de main. C’est ainsi que je réalise mon jardin avec l’aide des êtres de la nature. Cela signifie d’abord qu’ils m’aident à choisir les meilleurs emplacements pour les plantes. D’ailleurs, les plantes elles-mêmes me l’indiquent. Ensuite je leur demande de me donner un coup de main pour protéger ou embellir telle ou telle plante.

Et cela marche ! J’ai eu très peu de pertes dans mon jardin. Et les premières pousses de  cette année sont de bonne augure.

Évidemment, j’apporte régulièrement des cadeaux à mes amis pour les remercier de leur implication. Les lutins adorent les bonbons au miel par exemple.

Pour protéger mon jardin de certains insectes, je fais aussi appel à certains esprits d’animaux. Et là aussi, cela marche. Alors que mes voisins se faisaient manger leurs salades l’an dernier, j’ai eu pour ma part très peu de pertes.

J’ai même pu en donner à ma famille ! Et j’ai eu tellement de topinambours que j’ai donné des cagettes entières autour de moi.

Pourtant ce n’était pas gagné. En travaillant mon terrain, j’ai trouvé une terre souillée par la ferraille, des câbles électriques, du verre, des piles etc.

Respecter la nature

Et c’est notamment parce que j’ai nettoyé ce terrain que la nature me rend la pareille.

Je reçois même des conseils pour la gestion de mon compost. Pour cela, je pose des questions à mes amis êtres de la nature pour savoir ce qui peut être le plus approprié pour tel légume etc.

ils sont joyeux, vifs et bienveillants. Il y en a des très jeunes qui sont un peu plus « encadrés » par les anciens eux-mêmes très bienveillants. Et je les félicite quand je vois le travail accompli ensemble : les salades, les pieds de pommes de terre ou encore les pieds de tomates qui fleurissent déjà.

De fait, je n’utilise aucun produit chimique et j’accepte le peu de pertes qu’il peut y avoir : un don à la nature. Je mange à ma faim et d’une grande qualité. Et les êtres de la nature sont si heureux de participer à l’équilibre et l’harmonie de mon jardin avec un humain conscient de leurs présences. C’est vraiment chouette ! Et si vous tentiez cela ?

A vous de jouer maintenant, c’est le bon moment !

Bien à vous,

Émilie Laure

Cherchez et vous trouverez ! Les esprits se montrent !
Cherchez et vous trouverez ! Les esprits se montrent !

Je suis ce que je mange !

Hippocrate déclarait il y a plusieurs siècles de cela,que notre premier médicament était notre nourriture.

On oublie bien souvent ces sages paroles. Certes, on veut bien suivre les préconisations et messages des campagnes gouvernementales sur l’équilibre alimentaire qui devrait être le nôtre. Toutefois, on ne se pose pas assez la question de savoir si ces régimes alimentaires généralisées sont réellement adaptés à tous.

Et dès lors que quelqu’un mange différemment, on dit que c’est un original. Pourtant…

La reconnaissance d’une approche millénaire : l’ayurvéda

Si l’on s’intéresse à la médecine indienne traditionnelle, on se rend compte que l’ayurvéda a mis en évidence ce qu’on va appeler chez nous des tempéraments qui vont définir nos tendances énergétiques. Celles-ci définissent ainsi nos fragilités à renforcer, mais aussi nos forces en présence. En fonction de cela, tels aliments seront plus adaptés que d’autres.

Le système des castes que nous, occidentaux, décrions et qui est très complexe, explique aussi que selon la caste à laquelle nous appartenons, nous mangeons tel ou tel aliments. Ainsi, ceux décrits traditionnellement comme faisant partie des « prêtres » ne mangent ni viande, ni poisson, ni oignon et ne boivent pas d’alcool.

En France, plusieurs spécialités permettent d’appréhender nos vrais besoins alimentaires en fonction de notre tempérament. La naturopathie en fait partie. Des praticiens ayurvédiques ayant suivi une formation complète peuvent être également de très bons conseils.

Apprendre à s’écouter

« Comment ça va ? »  était la question que posaient chaque matin les médecins au roi de France. Sans s’entourer constamment de médecins, il me semble primordial d’apprendre à s’écouter et à observer les réactions de son corps à tel ou tel aliment.

Après tout, est-ce vraiment juste de se « forcer » à consommer tel ou tel aliment parce qu’un dogme industriel le préconise ?

Dans la jungle actuelle des régimes alimentaires, trouver le sien semble complexe. Mais je crois que le plaisir et le bien-être doivent être les lignes conductrices vers notre équilibre alimentaire.

Parfois on ne mangera qu’un seul aliment, simplement parce que c’est celui-ci dont nous aurons besoin.

Les produits laitiers

Ils ne sont malheureusement pas nos amis pour la vie ! De nombreuses études montrent la faible digestibilité des produits laitiers issus des animaux et surtout des vaches.

En outre, le calcium contenu dans ces laits est difficilement assimilables. Et consommer de tels produits peut même aggraver  certaines pathologies articulaires tels la sclérose en plaques, les rhumatismes etc.

Il existe de nombreux aliments issus du règne végétal contenant du calcium facilement assimilable : oranges, figues, abricots secs, prunes, oignon, cresson, brocolis, algues, épinards, haricots blancs, haricots rouges, pois chiches, lentilles, amandes, noix, pistaches et même menthe, thym, sauge, persil, basilic, lait de coco, soja, graines de sésames etc.

Le bio

Enfin, une réflexion sur les alicaments doit passer par la qualité de ce que nous absorbons. Incontestablement, la nourriture issue de la culture et l’élevage bio est plus nourrissante, plus riche en vitamines et en énergie que l’alimentation issue de l’agriculture et de l’élevage conventionnels.

En mangeant régulièrement bio, on peut même réduire les quantités de nourriture absorbées. Et nous évitons en plus d’absorber des pesticides !

Alors comment va votre corps aujourd’hui ? Et si vous réfléchissiez à votre alimentation ?

Belle journée à tous,

Émilie Laure

Le végétarisme, mon choix

Le végétarisme, pour moi n’a pas été un effet de mode, comme beaucoup de réfractaires ont tendance à le penser. « On souhaite être original ! Sortir du lot »…

C’est loin d’être toujours confortable justement de sortir du lot. Il existe tellement de préjugés sur l’alimentation végétale, dont la première serait qu’une personne végétarienne serait carencée !

Mais revenons sur mon choix d’abord !

J’ai découvert le végétarisme comme on découvre n’importe quelle pratique. Des amies habitant en Isère, m’avaient un jour indiqué lors d’une invitation à dîner qu’elles étaient végétariennes. Elles étaient bouddhistes également et m’avaient expliqué que leur pratique alimentaire était liée à leur approche bouddhiste. J’avais adapté mon repas avec plaisir à ces amies.

Dans la même période, une autre connaissance m’avait indiquée être végétarienne aussi. Je peux dire que j’étais très ouverte à leur approche et à cette pratique alimentaire de fait.

Pour autant, je mangeais ce que la majorité des occidentaux mangent : viande rouge, viande blanche, charcuterie etc. Et j’aimais ça !

A mon retour en Bourgogne en 2011, je me nourrissais encore de viande et de poisson à tous mes repas. D’ailleurs plusieurs personnes de ma famille me rappelaient – j’étais très fatiguée à l’époque – qu’il était primordial de manger de la viande : viande rouge au moins une fois par semaine, poisson une fois par semaine etc.

Au cours de cette période, j’ai commencé à avoir des troubles intestinaux de plus en plus importants. Et un jour, mon médecin généraliste m’a diagnostiqué une colopathie fonctionnelle. La seule réponse allopathique à une telle pathologie est de vous donner des médicaments, sans chercher à savoir d’où viennent ces troubles. On traite les symptômes.

Afin d’éviter la surmédication que vivait ma maman atteinte de la même pathologie depuis presque 40 ans, j’avais décidé de travailler avec un herboriste.

De nouvelles rencontres

Et c’est en 2013 que j’ai rencontré une femme, végétarienne à temps partiel, qui m’a remis sous les yeux cette notion de végétarisme.

En juin 2013, je passai mon premier degré Reiki. Au cours de la formation, mon Maître nous avait déconseillé de manger de la viande rouge et de boire de l’alcool, ces aliments étant plutôt en contradiction avec le travail réalisé pendant le week-end d’initiation.

Au cours de l’été 2013, je me suis retrouvée à faire du camping, sans réfrigérateur. J’ai fait alors le choix de ne pas manger de viande pendant cette période ou en tout cas d’en limiter la consommation.

J’ai alors remarqué que je me sentais plus légère et que j’arrivais à mieux digérer. Parallèlement, les messages de mes guides m’ont confortée.

Les mois qui ont suivi ont été parfois difficiles. Mon corps était habitué à la viande. C’est comme s’il avait fallu le désintoxiquer. Je mangeais encore du poisson. Je n’étais donc pas encore végétarienne. Et il y avait encore les croyances familiales sur les carences possibles.

Mes guides m’ont alors indiqué qu’il fallait que je poursuive sur ce chemin. En revanche, il fallait que j’arrête rapidement les produits laitiers. C’est ce que j’ai fait quelques mois plus tard en 2014.

Et encore quelques mois plus tard, j’ai cette fois-ci arrêté le poisson, devenant alors réellement végétarienne. Dans un premier temps, je peux clairement dire que je suis devenue végétarienne pour des raisons de santé.

Il me fallait soulager mon corps, mon système digestif et comprendre ce qu’il n’arrivait plus à digérer. La dernière fois que j’ai mangé un poisson, je me rappelle avoir regardé ce corps – oui un corps – devant moi, dans mon assiette. Je me rappelle m’être demandée comment j’allais faire pour le manger.

J’ai eu beaucoup de mal à le finir. C’est la dernière fois que j’ai mangé du poisson.

Le végétarisme, comme prise de conscience

Lorsque j’ai arrêté de me nourrir de viande, j’ai d’abord eu du mal dans mon corps à m’en passer. Cela ne me faisait pas envie, mais il y avait comme un manque… comme si j’avais été droguée. Il m’a fallu trouver d’autres manières de me nourrir.

Mais devenir progressivement végétarienne m’a permis de redécouvrir les merveilles de la nature et la richesse des aliments qui nous entourent.

Peu à peu, j’ai eu de plus en plus une prise de conscience : ceux que nous mangeons ne sont pas si différents que cela de nous. Enfin le fait d’avoir développé la communication intuitive avec les animaux m’a complètement confirmé dans ce choix que j’avais réalisé. Je ne pouvais pas manger des amis, des frères. L’idée même m’écœurait.

J’ai aussi eu une autre prise de conscience à mesure que je suivais des formations dans le domaine énergétique. Les animaux souffrent dans beaucoup d’élevage. Ils sont souvent privés de leur mère à la naissance, meurent prématurément, sont gavés de médicaments de toutes sortes et meurent dans d’atroces souffrances.

Comment dans ces conditions, manger un animal mort dans de telles conditions et vibrant des énergies basses peut-il nous nourrir sainement sur tous les plans ?

Ma démarche intuitive de changement d’alimentation s’expliquait enfin totalement. Les scientifiques reconnaissent l’intelligence de notre intestin (tel un deuxième cerveau). Eh bien, je fais partie des personnes dont les parois digestives sont hypersensibles. Cette sensibilité s’exprime ainsi par le fait que je ne peux pas avaler n’importe quelle énergie. J’ai compris que je sentais la souffrance des animaux et que celle-ci me faisait mal. Je ne pouvais plus supporter de l’avaler.

De même les poissons meurent dans une agonie totale, asphyxiés. Si on devait comparer ce type de mort avec ce que nous pourrions vivre, nous mourrions noyés tout simplement.

C’est ce qui leur arrive.

De fait ma démarche végétarienne est tout à la fois une démarche de santé mais aussi spirituelle.

Végétarisme, végétalisme, véganisme

Comme je vous l’indiquais plus haut, j’ai aussi arrêté de consommer tout produit laitier. Là encore les peurs familiales conduisaient à se poser la question suivante : mais où vas-tu trouver le calcium nécessaire à tes apports quotidiens ?

D’abord force est de constater que le lait contient de la souffrance, la souffrance de la mère séparée de son enfant. Ensuite nous n’avons pas besoin de lait issu des autres animaux. Le seul lait dont nous avons besoin enfant est celui de notre mère. Et une fois sevré, nous n’en avons pas besoin.

En outre, la digestibilité du lait de vache est remis en question par des scientifiques depuis plusieurs années à présent et l’assimilation du calcium contenu dans ce lait également. Évidemment cela pose des problèmes à l’industrie laitière créée juste après la seconde guerre mondiale afin de relancer l’économie. Comment va-t-elle survivre ?

La question est plutôt de savoir comment vivions-nous sainement avant de développer de telles pratiques ?

Le végétalisme est la pratique consistant à ne manger aucun produit issu des animaux. Je ne suis pas végétalienne, même si je tends vers cette pratique. En effet, je mange encore des œufs. Je fais de mon mieux pour respecter les poules, en choisissant des produits de qualité – bio particulièrement – afin de m’assurer le plus possible de tendre vers le bien-être de ces animaux.

Au cours de mon cheminement, je me suis posée la question aussi de savoir si je deviendrai végan.

Être végan, c’est vivre sans le moindre produit issu d’un animal (ni sa viande, ni sa peau, ni son lait).

Je me suis posée beaucoup de questions sur la cause animale. Avons-nous réellement besoin d’exploiter les animaux pour vivre décemment ? J’ai deux canapés en cuir. Je les regardais étrangement. Je me demandais comment je pouvais m’asseoir dessus. A une époque cela m’était insupportable. Je souhaitais faire l’acquisition d’un tambour chamanique. Là aussi, que choisir ?

Un tambour avec une peau animale ou synthétique ?

C’est en développant la communication avec les esprits que ma réponse est venue.

Certes je n’avais pas les moyens de changer mes canapés. Mais j’avais le moyen de respecter et de donner du sens à la vie qui avait été sacrifiée pour les réaliser. C’est ce que j’ai choisi de faire en remerciant l’esprit de l’animal à l’origine des mes canapés.

J’ai aussi pris la décision de ne plus acheter de cuir animal. Il existe aujourd’hui des cuirs synthétiques d’excellente qualité.

Et mon tambour chamanique ? J’ai choisi de travailler avec l’esprit d’un être, une chèvre. Et j’ai donc choisi un tambour avec une peau de chèvre.

Après chaque travail, je remercie l’esprit de mon tambour et l’esprit de la chèvre. Je reconnais l’importance de cet être dans ma vie. Je lui redonne sa place dans la vie.

Certes je ne suis pas végan, mais je tends vers cette pratique.

Je tends surtout vers le respect de tout ce qui vit.

Et c’est finalement ma démarche globale dans ma relation avec les animaux.

Je les remercie de m’avoir nourrie lorsque je pensais en avoir besoin. Aujourd’hui je suis heureuse de contribuer à la vie en réduisant la consommation de ces êtres merveilleux. Je suis heureuse aussi de contribuer à la réduction de la pollution que leur exploitation induit.

Le végétarisme est un choix que j’assume pleinement aujourd’hui sans le revendiquer de manière ostentatoire. Je le vis. C’est tout.

Et les carences alimentaires ?

Ma santé s’est nettement améliorée depuis mon changement alimentaire. Mais force est de constater que mon mode de vie a changé aussi. Je suis devenue énergéticienne. Je prends davantage soin de moi qu’il y a 10 ans en arrière.

Et mon entourage est toujours étonné de voir la force physique et l’endurance que je possède malgré mon mode de vie et mon mode d’alimentation. Il constate que je prends rarement des compléments alimentaires et même très nettement moins que les personnes qui disent se nourrir normalement.

Je peux passer des journées entières en randonnée en montagne avec plaisir et étant même moins fatiguée que certaines personnes.

Dernièrement, mon médecin généraliste – que je vois une fois par an maximum – a demandé des analyses de sang. Il a notamment demandé une analyse sur le fer.

Beaucoup de personnel médical possède la croyance que les végétariens ont forcément des carences en fer.

Lorsque j’ai récupéré mes résultats, le médecin était juste bluffé. Tout allait parfaitement bien. Si vous veniez à la maison, vous pourriez constater la diversité de mon régime alimentaire. Et la clé de ma bonne santé réside dans le plaisir de manger. Je reste gourmande. Je me fais du bien. Et je cherche à être à l’écoute de mon corps.

Cette pratique ne s’est pas développée du jour au lendemain. Je tends vers cette pratique. Je fais de mon mieux quotidiennement.

Parfois je me fais des plateaux télé où je descends un paquet de chips et des cacahuètes. Et alors ? Je me fais plaisir !

Alors quoique vous mangiez, mangez-le sans culpabilité et avec plaisir !

Je vous souhaite un bon réveillon de la Saint Sylvestre.

A l’année prochaine !

Émilie Laure

Manger bio

De plus en plus de produits biologiques se trouvent en magasin (spécialisé ou non).

Et la vente de produits biologiques augmente nettement depuis plusieurs années. Certes les produits biologiques ou « bio » sont accusés d’être plus chers (ce qui est parfois le cas) ; certes ils sont accusés de ne pas être tous si bio que cela (cf. reportages sur M6)…

Toutefois, le bio a de nombreux avantages et des raisons d’être :

– un meilleur respect de la terre,

– un meilleur respect des animaux,

– un meilleur respect de soi (les aliments biologiques sont plus nutritifs que les autres produits).

Pour en savoir davantage, voici un article intéressant : http://www.bien-et-bio.com/conseils/alimentation-biologique/

Également, de plus en plus de marchés locaux bio se mettent en place. Retournez au marché : c’est un gage de sécurité. Vous connaissez et rencontrez les agriculteurs, les éleveurs et vous faites travailler la filière locale… donc moins de rejet de CO2 dans l’atmosphère.

Au Creusot, l’association Cabas Bio propose des paniers chaque semaine. Et chaque mercredi de 11h30 à 13h30, le marché bio se tient sur le parking de Carrefour Market du Creusot, face à la gare.

On peut aussi trouver des produits bio sur le marché du samedi matin, sur la place Schneider du Creusot.

Essayez et adoptez le bon geste pour votre santé ! 😉