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Les oubliés laissent toujours des traces

Dans cet article, je vous propose d’évoquer une sous-thématique du déni : l’oubli volontaire ou non de certains êtres. Ces oubliés laissent des traces chez chacun d’entre vous. Certaines peuvent sembler légères alors que d’autres sont nettement plus lourdes. Et plus le silence est lourd, plus généralement la douleur est lourde et sourde.

J’évoquerai ainsi le cas des enfants oubliés, aussi du poids des traditions dans la transmission de fardeaux. Je reviendrai ensuite sur les sentiments souvent reliés à ce type d’expériences, notamment le déni et la culpabilité. Pour celui ou celle qui est amené à porter la mémoire de l’être oublié, ce que cela peut engendrer… Enfin et pour guérir la lignée et vous-même, comment redonner sa place à chacun.

Les enfants oubliés

Cela fait finalement peu de temps à l’échelle humaine que l’enfant a été progressivement reconnu à sa place ou en tout cas à une place en France. Aux 18e et 19e siècles, il s’agissait plutôt d’une bouche à nourrir. Et les familles pouvaient compter de nombreux enfants certes car il n’y avait pas de contraception, mais aussi parce que les enfants ne survivaient pas tous. La mortalité infantile était importante dans beaucoup de familles. Peu pleuraient leurs enfants. Aujourd’hui pour d’autres raisons, vivre une fausse couche, avorter ou avoir des enfants morts-nés est douloureux.

J’ai eu plusieurs fois au cabinet des femmes ayant fait le choix difficile (au regard de leurs retours et expériences) d’avorter alors même qu’elles semblaient ne pas désirer d’enfant à priori dans leur vie.

Ces enfants oubliés ou rejetés pouvaient laisser des traces et n’être tout simplement pas partis dans la lumière, attendant une reconnaissance.

A cause de la douleur, du poids familial, du regard des autres aussi, le sujet n’est pas toujours évoqué. Pour la femme, plus souvent que pour l’homme, l’expérience reste extrêmement douloureuse. Et pourtant, cela laisse une trace dans la famille pour ceux déjà présents et les autres à venir.

Les traditions dans la transmission du passé et des douleurs

Il peut exister des traditions ou en tout cas des pratiques locales, familiales etc. poussant à ce silence et à remplacer l’enfant défunt le plus rapidement. L’une d’elles consiste à redonner le prénom (s’il s’agit d’un enfant mort en bas âge par exemple) à l’enfant suivant dans la fratrie.

C’est aussi une pratique que l’on retrouve avec le fait de donner le prénom d’un défunt (ancêtre). Certes pour un défunt, on reconnaît la place de l’ancêtre dans la lignée. Mais pour l’enfant à venir, qui est-il ? Comment pouvez-vous l’aider à trouver sa place lorsqu’il porte le prénom d’un défunt (enfant ou ancêtre) ?

Voir aussi : https://emilie-m.net/comment-un-prenom-influence-t-il-votre-vie/

Le déni et la culpabilité, des poisons

Pour les parents ayant perdu un enfant, les sentiments souvent évoqués sont ceux de la culpabilité voire le déni.

Pour une femme qui avorte, il reste souvent ce sentiment de culpabilité, culpabilité d’avoir donner la mort. C’est une émotion que l’on retrouve aussi chez la femme qui a fait fausse couche : comme si être une bonne mère passait par le fait de « savoir » ou « pouvoir » porter un enfant jusqu’au bout.

L’enfant a pris tellement de valeur aujourd’hui dans notre société, que ne pas arriver à donner la vie, peut laisser des séquelles importantes pour un couple.

De la même manière, si l’enfant perd la vie au cours des premiers mois de son existence, ce sentiment peut aussi apparaître.

Plus tard, il peut laisser le sentiment de colère ou d’impuissance. Je me rappelle ainsi l’expérience d’une amie qui avait perdu sa sœur soudainement alors que cette dernière avait tout juste 9 ans. Bien des années plus tard, son père a contracté un cancer du foie. Il s’en est remis une première fois. Mais faute d’avoir travaillé sa souffrance et restant dans le déni du poids de cet événement sur sa vie, il a eu une récidive de son cancer.

Le déni et la peur, comme freins dans votre évolution

Force est de constater que faute d’exprimer et libérer ses émotions, celles-ci non seulement vous empoisonnent mais aussi empoisonnent vos proches.

Pour l’enfant qui naît après une fausse couche, il doit succéder à la mort, à la tristesse. Pendant la grossesse, il portera les peurs de ses parents et peut développer un rapport à la vie chaotique.

Pourquoi ? Parce que dès le début de son parcours dans le ventre de la mère, il porte l’angoisse de la mort : la sienne et celle de l’être qui l’a précédé. Il sent ce que ses parents vivent émotionnellement.

La charge est lourde. Et cela peut donc impacter son évolution une fois arrivé en incarnation.

En outre et si la mère n’a pas pu faire le deuil, il peut se retrouver en présence de l’autre enfant à ses côtés. Il aura peut-être le sentiment d’un jumeau perdu, alors qu’il s’agissait plutôt d’un enfant encore présent énergétiquement chez la mère.

Redonnez sa place à chacun

Pour que chacun d’entre vous puissiez évoluer (défunt et vous-même), il est important de redonner sa place à chacun dans la lignée. Bien souvent, cette place n’existe pas pour le défunt. Et c’est là où réside la difficulté : pas de sépulture, absence du livret de famille, personne n’en parle…

Il est possible d’honorer chacun par des actes symboliques : réalisez un arbre généalogique comportant votre frère ou votre sœur défunt. Honorez le chaque année au même titre que vos ancêtres. Écoutez ce qu’il peut avoir à vous dire, ce qu’il n’a pas pu dire, ce qui n’a pas été entendu par les vôtres.

Voir aussi : https://emilie-m.net/honorer-vos-ancetres-honorer-vos-racines/

Les actes symboliques peuvent vraiment être utiles : dessiner la personne ou les émotions, planter un arbre, allumer une bougie en conscience. Ils peuvent être aussi énergétiques en travaillant la libération de cet être soit avec le Reiki ou toute autre pratique de libération émotionnelle.

Cela permet à chacun de reprendre son chemin dans l’amour, à chacun de trouver sa place et que la vie suive de nouveau son rythme.

En conclusion, il est primordial de reconnaître les enfants oubliés de vos lignées, quelles que soient les origines de ces oublis. Le déni, la culpabilité, la colère, la tristesse engendrent de grosses difficultés d’évolution pour les membres de la famille touchées par ces expériences. Libérez-vous pour pouvoir avancer dans la paix. Libérez ces enfants afin de leur permettre d’évoluer aussi de leur côté. C’est un bel acte d’amour pour eux et pour vous même.

Vous avez encore des questions ou des remarques sur cet article ? Posez-les en commentaires, j’y répondrai avec plaisir.

Bien à vous,

Émilie Laure

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Décodez la maladie

Lorsqu’un diagnostic tombe, vous pouvez très souvent vous sentir démuni, désespéré peut-être. On peut vous prescrire un traitement médicamenteux, ou rien si la maladie est dite irréversible… rien parce que la médecine moderne ne sait pas prendre en charge ou accompagner.

Pourtant vous pouvez et devriez faire quelque chose : d’abord pour comprendre ce que cette maladie est venue vous dire de vous-même, ensuite pour limiter sa progression et pourquoi pas trouver les moyens afin que celle-ci ne progresse plus. Suivant les maladies, il reste primordial de maintenir un traitement médicamenteux en parallèle d’un traitement alternatif. Vous restez la seule personne responsable de votre santé. Gardez en tête qu’un traitement médicamenteux reste parfois indispensable.

Qu’est-ce que je sens en moi ?

Décoder votre maladie, c’est vous ouvrir au sens de celle-ci. Cela peut commencer par identifier son expression. Que vous dit votre corps ? Quelles sont vos douleurs ? Vos limitations ?

Par exemple, lorsque plusieurs personnes parlent en même temps, je n’arrive plus à me concentrer sur la voix de la personne que je souhaite écouter. J’ai souvent mal aux oreilles. Je ne peux plus supporter le bruit. Cela m’amène à vouloir rester seule. Je ne peux plus entendre les graves ou les aigus. Je n’arrive pas toujours à localiser d’où vient un son.

D’accord et quelles émotions génère cette situation ? Souvent vous allez vous sentir diminué, vous allez vous déprécier. Vous allez avoir le sentiment de perdre une partie de vous-même. Si cette maladie a déjà touché quelqu’un de votre entourage, vous pourrez aussi avoir peur de suivre le même chemin que cette personne. Dans une forme de déterminisme, vous vous projetterez déjà dans sa situation etc. Vous avez alors le choix entre rester dans ces émotions et leur laisser le pouvoir ou bien, chercher à comprendre l’enseignement de la maladie et en quelque sorte faire ami-ami.

L’enseignement de la maladie

Ensuite se pose la question : à quoi cette maladie me contraint-elle ? Elle peut m’isoler, me demander un effort supplémentaire pour aller vers les autres. Elle peut aussi me contraindre à devoir demander de l’aide aux autres, à faire preuve de plus d’attention lorsque j’écoute l’autre, parce que sinon vraiment je ne l’entendrais pas.

Une surdité me contraint à me concentrer davantage sur la relation et pas sur le collectif par exemple. Quelqu’un qui ne peut plus bouger devra accepter l’aide d’autrui.

Ce sont des exemples d’enseignements que certaines maladies peuvent apporter. En vérité, ces enseignements sont multiples et propres à chacun. Cela dépend aussi de ce que nous avons déjà vécu auparavant et intégrer.

Dans tous les cas, les maladies vous montrent la nécessité de prendre soin de vous.

Les mots – les maux

Les noms donnés aux maladies ne sont pas anodins. Les expressions du langage courant également. La langue des oiseaux peut être d’une grande aide pour décoder aussi le sens de la maladie ou aussi l’analyse des mots que vous utilisez. Quand vous ne voulez plus entendre parler de quelqu’un, vous risquez de recevoir ce que vous voulez. Ce « quelqu’un » est la représentation d’un symbole. Réfléchissez un instant sur l’enseignement qu’il vous apporte. Peut-être est-ce excessif…

Ou bien vous en avez plein le dos… attention à vos lombaires !

Voir aussi : https://emilie-m.net/comment-un-prenom-influence-t-il-votre-vie/

Dans plusieurs médecines traditionnelles et plusieurs fois millénaires, une maladie constitue l’expression d’un déséquilibre énergétique. La médecine traditionnelle chinoise notamment peut proposer des pratiques à la fois de Qi gong, aussi à travers sa pharmacopée pour la prise en charge et l’accompagnement de certains troubles. Si ces médecines se veulent d’abord préventives, elles peuvent être dans certains cas curatives.

Comment dépasser la maladie ?

Dépasser la maladie ne signifie pas nécessairement qu’elle disparaisse définitivement. Cela signifie d’abord « apprendre à vivre avec ». Cela peut faire progresser positivement et favorablement le diagnostic. Un travail sur les charges émotionnelles, vos mémoires ou un aspect transgénérationnel peut aussi être utile.

Et il reste important de travailler dans la matière, dans le présent pour prendre soin de vous : massages, méditation, yoga, Qi gong etc.

C’est en vous occupant de vous d’un point de vue holistique que vous pourrez dépasser la maladie. Et aussi en apportant beaucoup d’amour à cette partie de vous que vous avez délaissée ou malmenée.

En conclusion, décoder une maladie passe par plusieurs étapes : celle d’observer ce qui se passe dans votre corps, en vous, ce qui pourrait être l’enseignement de cette maladie. C’est aussi décoder les expressions, les noms autour de cette maladie. C’est se reconnecter à vos maux et chercher aussi dans des médecines anciennes ou alternatives comment l’apprivoiser. Enfin c’est utiliser des approches holistiques et vivre dans le présent avec elle.

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Bien à vous,

Émilie Laure

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Comment un prénom influence-t-il votre vie ?

Nous sommes tous à la recherche de notre chemin, de notre vérité, pour développer le meilleur de nous-même.

Il est des vérités que l’on peut essayer de lire à travers les signes. Je vous propose ici de nous intéresser au rôle, à la place de nos prénoms dans notre vie.

Par ailleurs, attention lors de ces lectures. Parfois plusieurs filtres sont nécessaires pour obtenir des réponses relativement complètes : la symbolique d’un prénom, l’étymologie, le transgénérationnel aussi.

Une fois une première prise de conscience mentale, il s’agit d’aller dans son cœur, au contact de son âme pour lire les blessures, comprendre celles qui nous appartiennent, de celles qui ne nous appartiennent pas pour les transmuter et… revenir au processus alchimique.

Parfois nous portons plusieurs prénoms, parfois un seul, parfois le diminutif d’un autre.

La symbolique de votre prénom

Lorsqu’il s’agit d’un diminutif, il faudra vous intéresser au prénom d’origine : Mimi pour Michel, Mireille… ? Et dans un diminutif, on veut réduire. Mais que veut-on réduire ou adoucir en donnant ce prénom ? Un prénom peut revêtir une symbolique universelle, familiale, locale.

Universelle : on s’intéressera à l’étymologie, les origines latine, grecque, juive, arabe etc. Et pourquoi pas s’intéresser aux saints, anges reliés à ce prénom (suivant votre culture).

Locale : il peut y avoir des histoires autour d’une personne ou d’un personnage portant votre prénom (en positif ou négatif). En positif, quelles sont les attentes que l’on peut avoir à votre égard ? En négatif, quel poids, personnalité, vous fait-on porter et plus ou moins inconsciemment vous demande-t-on de réparer ?

Familiale : dans de nombreuses régions de France et du monde, on a donné et donnons encore les prénoms d’ancêtres ou de parrains-marraines. S’il peut y avoir le sentiment d’apporter une protection à l’enfant, il y a surtout le poids de la représentation de la personne (héros de la famille, paria de la famille, patriarche, matriarche, guérisseur/se etc.).

Voir aussi : https://emilie-m.net/conquerir-votre-liberte/

Le transgénérationnel à travers votre prénom

Consciemment ou non, on repasse « une patate chaude » à celui qui porte ce ou ces prénoms.

Ceci dit, l’univers peut sans prénom issu de la famille trouver d’autres signes pour faire porter le transgénérationnel : fête du saint qui correspond à une date de naissance ou de mariage par exemple.

Mais revenons à ces « patates chaudes ». Dans de nombreuses familles, soit on glorifie, soit on assombrit quelqu’un… sauf que nous sommes des êtres ambivalents. Cela signifie donc à mon sens que l’héritage du transgénérationnel l’est aussi : quelles forces nous sont transmises ? Quelles forces devons-nous acquérir pour nous et les générations à venir ? Pourquoi ne parle-t-on pas de telle arrière grand-mère ? En enquêtant ou simplement en écoutant les histoires de famille, vous découvrirez peut-être qu’elle préférait telle petite-fille, qu’elle n’a pas su soutenir son autre enfant face à ses difficultés. Cela vient expliquer un problème pour trouver sa place, problème que l’on trouve sur plusieurs générations.

Cela peut aussi expliquer une blessure de trahison et son expression : contrôle, jalousie, possessivité etc.

Rappel sur la blessure de trahison : https://emilie-m.net/le-besoin-de-verite-dans-toute-relation-authentique/

Si l’on donne le prénom de l’enfant blessé à son propre enfant, la blessure de l’ancêtre aura alors la possibilité de s’exprimer plus facilement d’autant plus si elle entre en résonance avec celle de l’enfant.

Guérir les blessures de ses ancêtres pour se guérir

En vouloir à ses ancêtres ou ses parents pour le poids que l’on porte me semble injuste. Le transgénérationnel n’est qu’une partie du problème. En vérité, c’est une opportunité – certes très inconfortable – d’acquérir une énergie que nous ne maîtrisions pas jusqu’à présent… si nous croyons aux vies antérieures ou non. De mon point de vue, tout se recroise (vie actuelle, vies antérieures, transgénérationnel etc.).

Mais revenons à nos ancêtres. Il nous faut enlever ces couches de souffrance et les libérer.

Les outils sont nombreux : reiki, chamanisme, constellation familiale… C’est aussi envoyer de l’amour à des êtres, enfants/adultes, qui ont été mal aimés. C’est leur permettre de retrouver leur juste place et votre juste place.

Voir : https://emilie-m.net/vous-liberer-de-vos-memoires-familiales/

Trouvez votre place et votre chemin

Ces libérations vous conduisent vers vous-même. Qui est véritablement cette « Emilie » ? Sa personnalité ? Son chemin ? Quelles sont ses envies à elle ? Quelle doit / peut être son expression ? C’est en fait une re-découverte, à chaque instant de soi.

C’est à travers une passion oubliée : vous vous remettez à chanter, à dessiner, à marcher… Vous vous découvrez une passion pour les plantes, pour les autres, les loisirs créatifs… etc.

Cette re-découverte de vous-même passe par des rencontres, des échanges, des sourires… et bien sûr des prises de conscience cruciales.

A découvrir aussi : https://emilie-m.net/decouvrez-votre-voie/

En résumé, un prénom peut influencer votre vie.Il vous appartient d’en comprendre les multiples dimensions et de vous atteler progressivement à lever les barrages énergétiques générés par ce prénom. Vous vous pacifiez progressivement avec vous-même et rencontrez l’être véritable que vous êtes.

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Bien à vous,

Émilie Laure

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#transgénérationnel #symbolique #prénom

Une blessure de l’âme n’est jamais isolée

Dans un précédent article, j’ai évoqué la blessure de trahison et comment, à mon sens, pouvoir commencer à la dépasser. Si la sincérité du cœur, une communication non violente peuvent permettre à un couple de mieux fonctionner, il me semble essentiel de comprendre comme l’a expliqué Lise Bourbeau, qu’une blessure de l’âme n’est pas isolée.

Nous portons tous les 5 blessures de l’âme

Trahison, humiliation, rejet, abandon, et injustice… nous portons tous ces cinq blessures. Toutefois, l’une d’entre elles prédomine chez nous. On peut trouver dans les ouvrages de Lise Bourbeau et les sites des professionnels travaillant selon sa méthode, de nombreux descriptifs (psychologique, physique, émotionnel) caractéristiques des personnes porteuses principalement de chaque blessure.

Néanmoins, derrière une blessure se cache souvent une ou plusieurs blessures.

Pour rappel sur la trahison, voir aussi : https://emilie-m.net/le-besoin-de-verite-dans-toute-relation-authentique/

Les relations entre les différentes blessures

Reprenons l’exemple de la blessure de la trahison. Suivant la nature de l’expérience à l’origine de cette blessure, une ou plusieurs autres peuvent être associées.

Mettons que vous vivez une infidélité de votre conjoint ou conjointe, que celle-ci soit ponctuelle ou régulière, et que tout le monde ou un grand nombre de personnes de votre entourage soit informé… Non seulement vous vivrez la blessure de trahison, mais vous pouvez aussi vous sentir humilié.

Une même expérience peut donc vous faire expérimenter plusieurs blessures.

Dépasser les blessures de l’âme

Il existe plusieurs manières de se défaire progressivement de ces blessures : je préconise de travailler progressivement sur chaque expérience nourrissant cette ou ces blessures. Cela prend certes du temps, mais cela a le bénéfice d’être méthodique.

Si une expérience est identifiée, on peut utiliser des techniques telles que l’EMR, LEMO par exemple pour se défaire de la charge émotionnelle. On peut aussi utiliser le Reiki Usui, qui pacifiera cette expérience.

Ces techniques sont très efficaces.

Si les chocs émotionnels ont été si violents que vous vivez parfois aujourd’hui des moments de dissociation, cela vaut le coup de faire un recouvrement d’âme pour permettre à votre être d’être complet.

Voir aussi : https://emilie-m.net/votre-place-dans-lunivers-ou-en-etes-vous/

Et je conseille d’opérer dans ce sens : d’abord transmuter la charge émotionnelle et ensuite récupérer son bout d’âme manquant. Pourquoi ?

Si un morceau d’âme s’est détaché, c’est parce que la charge émotionnelle de l’événement était trop forte. Il fallait donc se protéger. Le morceau d’âme peut repartir ou refuser de revenir au cours d’une séance de recouvrement, si la charge émotionnelle liée à son départ reste insupportable.

Pacifiez donc votre maison et vous pourrez la remeubler !

Travailler progressivement et durablement

De la sorte, si l’on comprend bien les choses, il est possible de travailler conjointement plusieurs blessures à la fois avec un même événement.

Mais il faut souvent travailler plusieurs événements pour avancer durablement au dépassement d’une blessure de l’âme. Cela ne se fait pas en une fois.

Il n’y a pas de quoi se décourager pour autant. Les avancées sont progressives pour permettre une intégration progressive des enseignements et la mise en place d’un nouveau regard sur la vie et de nouvelles habitudes.

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Bien à vous,

Émilie Laure

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#blessuresdelame #lisebourbeau #développementpersonnel

Le tabac, plante sacrée en chamanisme

Dans le chamanisme, il n’est pas indispensable d’utiliser des plantes pour voyager. Bien au contraire, le simple son du tambour suffit à vous faire voyager. Pour autant, nous avons des traces de l’utilisation de plantes dans le chamanisme chez différents peuples. Aujourd’hui en Occident, certaines de ces plantes sont très mal utilisées, telle le tabac par exemple. Beaucoup de personnes ont des troubles addictifs avec cette plante, dont l’esprit peut être un puissant allié pour les chamanes.

Les multiples utilisations du tabac dans le chamanisme

Comme l’explique Carmen Bernand, Membre de l’Institut universitaire de France. Professeur à l’université de Paris X-Nanterre (https://www.clio.fr/bibliotheque/pdf/pdf__l_herbe_cordiale_le_tabac_medecine_et_ivresse_chamanique.pdf), « Dans le monde indigène préhispanique le tabac est fumé dans des pipes dont le symbolisme ornemental montre bien qu’il s’agit d’une pratique rituelle, ou sous forme de cigares ; il est également prisé et son jus, extrait des feuilles broyées, peut être encore bu. Il semble que le cigare soit plus répandu en Amazonie alors que la fabrication de pipes est typique de la Cordillère des Andes. Dans tous les cas, quel que soit son mode d’utilisation, le tabac est toujours en liaison avec le chamanisme. Parfois il peut être mélangé à d’autres plantes hallucinogènes comme la datura, le yagé ou des cactus psychédéliques. »

On retient donc que le tabac peut se suffire à lui-même dans les rituels chamaniques. Toutefois, en fonction des traditions, des pratiques, des effets recherchés, il pourra être mélangés à d’autres plantes. A noter aussi : les peuples ayant les connaissances des rituels avec le tabac prennent très au sérieux son utilisation. Et ils connaissent les dangers de ces plantes. Car le tabac peut présenter aussi un danger dans les rituels chamaniques.

Les effets du tabac

« La fumée, dit-on en Équateur, protège contre la « vapeur » de la mort, mais aussi contre tout effluve malfaisant qui s’échappe de la terre, où résident les forces telluriques divinisées. Les mythes Ayoré de la Bolivie orientale font du jaguar le maître du tabac, plante cultivée durant la saison des pluies. « C’est avec le tabac que la connaissance vient aux chamanes à cause de leurs esprits auxiliaires », disent-ils. Le chamane doit boire du jus de tabac concentré sans le vomir : c’est à ce prix qu’il acquerra ses facultés divinatoires et magiques. » ajoute Carmen Bernand.

Le tabac est donc lié à la connaissance et à la protection, selon ces recherches. Pour autant, lorsque vous souhaitez travailler avec une plante, il est conseillé de pratiquer un voyage chamanique pour rencontrer cette plante. Si vous n’avez pas une pratique avancée en chamanisme, ni l’habitude des voyages, faites-vous accompagner. Il s’agit pour vous d’aller au bon endroit, de rencontrer l’esprit de la plante et de savoir quelles sont ses propriétés et comment vous pourrez travailler avec elle.

Le chamanisme n’est pas une balade de santé. Ne croyez pas que les choses seront faciles. Et ne passez aucun contrat malsain. Vous ne serez jamais aussi fort qu’une plante. Rappelez-vous que vous ne faites en réalité qu’un avec la création ! Voir aussi : https://emilie-m.net/le-chamanisme-lexperience-de-soi/

Travailler avec la médecine du tabac

Le tabac en tant que plante sacrée est aussi utilisée comme offrande : lors de cercles chamaniques lorsqu’il y a un feu par exemple ou pas, lors de hutte de sudation… Il peut globalement être utilisé en tant qu’offrande car il s’agit d’une plante sacrée. Cette offrande est donc considérée comme de grande valeur. Attention, préférez offrir du tabac et non pas des cigarettes déjà prêtes. Essayez d’acheter du tabac le moins traité possible aussi.

Ensuite lorsque vous avez rencontré l’énergie du tabac, vous saurez et selon votre propre roue de médecine comment travailler avec cette plante. Rappelez-vous que le chamanisme requiert beaucoup d’humilité. La plante peut accepter de travailler avec vous une fois, mais peut-être pas deux. Ne forcez pas les choses. C’est un manque de respect. Et cela pourrait se retourner contre vous.

En résumé, les utilisations du tabac en chamanisme sont multiples et ne se limitent pas simplement à fumer la plante. Les effets du tabac sont réels et montrent que l’utilisation de la plante doit se faire avec précaution. Enfin et dans la recherche de votre propre médecine, vous pouvez être amené à rencontrer cette plante. Restez humble face à cet esprit et rappelez-vous de votre place dans la création.

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Bien à vous,

Émilie Laure

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#chamanisme #médecinetabac #voyagechamanique

Le besoin de vérité dans toute relation authentique

Dans ce nouvel article, je vous propose d’explorer le besoin que nous avons tous au quotidien pour vivre sereinement nos relations : celui de vérité. En communication non violente, nous pourrions évoquer aussi la notion d’entendre, d’écouter le besoin de l’autre, de développer une véritable empathie et une compassion sincère. Et pourtant et pour de nombreuses raisons objectives et subjectives, nous nous retrouvons à avoir peur de ce besoin : peur de l’assouvir et à la fois de ne pas l’assouvir. Parmi les cinq blessures de l’âme évoquée par Lise Bourbeau, celle de la trahison peut notamment être à l’origine de cette peur de se dévoiler de nouveau. Et il en découle ensuite des quiproquos et des difficultés relationnelles à de multiples niveaux : amitiés, amours, famille etc.

La blessure de trahison et la peur de se dévoiler

Les blessures de l’âme sont des expériences douloureuses que nous aurions vécues pendant notre enfance et qui influencent nos réactions et notre personnalité d’adulte. C’est ce que Lise Bourbeau appelle les masques. La blessure de trahison s’éveille plus tard que les autres : plutôt entre l’âge de 2 et 4 ans. La plupart du temps, elle est vécue avec le parent de sexe opposé, en lien fort avec le complexe d’Œdipe.

Plusieurs situations peuvent générer une blessure de trahison, parmi lesquelles :

  • Lorsque le parent ne tient pas un de ses engagements, lorsqu’il n’est pas fidèle à sa parole. Cela peut être quelque chose d’aussi trivial que la promesse de faire un jeu ensemble ou d’aller au parc par exemple.
  • Ou lorsque l’enfant se sent délaissé au moment de l’arrivée d’un petit frère ou d’une petite sœur.
  • Lorsque son parent a des comportements imprévisibles et que l’enfant ne sait plus à quel signal se fier. Par exemple, l’enfant qui est victime de violence ou l’enfant dont l’humeur du parent est instable.
  • Généralement, lorsque le comportement du parent ne correspond pas à l’image idéalisée que s’en était faite l’enfant.

Lise Bourbeau explique qu’à chaque blessure correspond un masque. Ainsi la personne qui souffre de la blessure de trahison porte le masque du contrôlant.

Tout d’abord, comme son nom l’indique, le contrôlant est une personne qui a besoin de tout contrôler. Le fait de tout contrôler est une façon pour lui de baliser son environnement, de se prémunir contre la douleur de la trahison. C‘est pourquoi, en relation avec sa blessure, le contrôlant accueille très mal la lâcheté. Il trouve inacceptable de ne pas tenir ses engagements lui-même ou encore pire, de subir ce comportement de la part des autres. Il a beaucoup de difficulté à laisser aller, à lâcher prise car cela lui apparaît comme une forme de trahison. Lorsqu’il laisse tomber quelque chose, même si cela n’engage que lui, il se sent immédiatement profondément coupable.

Se mettre à nu, c’est prendre un risque

Dans ce contexte, se mettre à nu dans toute relation est une réelle prise de risque. Pour la personne chez laquelle cette blessure est prédominante, elle pourra chercher à fuir ces moments d’intimité, en dire le moins possible… de peur d’être trahie. Et elle sera mise en face de situation où elle sera amenée à revivre cette situation encore et encore tant qu’elle n’aura pas réglée la situation initiale à l’origine de sa blessure.

Par maladresse ou par manipulation intentionnelle, une personne en qui vous aviez confiance peut utiliser ces informations.

La maladresse peut venir d’une difficulté de l’autre à se positionner. Et comme la position n’est pas claire pour vous, cela réactive votre blessure de trahison.

C’est vous qui interprétez l’événement malheureux comme une trahison. Et c’est à vous de trouver les ressources en vous pour la dépasser.

Nos blessures révèlent notre besoin de vérité

Aussi votre besoin de vérité, autrement dit de sincérité, s’affirme plus fort. Vous risquez sans doute de mettre la barre plus haut pour la prochaine personne (ami, amour etc.). Mais l’autre personne n’y est pour rien dans ce qui vous est arrivé. Et ce besoin légitime de vérité (du cœur) et de sincérité, que parfois vous n’êtes même pas vous-même prêts à offrir, n’arrive pas comme vous le souhaiteriez. D’abord parce qu’en tant que contrôlant, vous n’écoutez pas assez l’autre, voire pas du tout. Et ensuite, parce que vous n’êtes pas prêt réellement à vous dévoiler, à expliquer, révéler votre vérité.

Mais le besoin est bel et bien réel ! Et cela vous conduit alors dans une véritable impasse : fuite, mensonge par peur de déplaire, de revivre la même blessure voire d’autres en plus (rejet, abandon…). Pour autant, la sincérité (y compris celle de révéler vos peurs) est la seule véritable réponse pour créer un lien authentique, si c’est vraiment cela que vous cherchez !

Le besoin de vérité pour maintenir le lien authentique

L’une des clés d’un couple qui fonctionne réside dans une communication la plus apaisée possible. Cela passe par une communication non violente, où chacun révèle ses besoins. Et quand on révèle ses besoins à l’autre, on répond au besoin de vérité et de sincérité de l’autre et le sien !

Cela s’avère aussi identique en amitié. Qui n’a pas eu des déceptions en amitié ?

Cela veut dire que cela passe pour chacun d’entre nous par le fait d’exprimer ses doutes, ses besoins donc (y compris celui d’être seul ou au contraire de passer un moment avec l’autre). Cela passe aussi par le fait d’arrêter d’accuser l’autre d’être à l’origine de notre mal-être.

Il s’avère nécessaire de reprendre encore et toujours sa responsabilité. Et pour cela, il faut aller chercher, voir à l’intérieur de soi, panser ses blessures, prendre le chemin de la résilience.

Sur la résilience, voir aussi : https://emilie-m.net/la-resilience-un-long-chemin/

C’est aussi apprendre à franchir le seuil d’un temple sacré, celui de l’autre : on entre en enlevant ses chaussures, avec empathie, douceur, parfois dans le silence, en parlant à voix basse. Parce que la voix porte dans ce lieu, et il n’est pas nécessaire de parler fort. Ce serait d’ailleurs malvenu. C’est un lieu fragile où le silence peut être nécessaire parfois et la parole doit être la plus juste possible.

Ce temple sacré, c’est le lieu de la vérité de l’autre, de son authenticité. Et la seule clé pour l’atteindre est la sincérité du cœur.

Au fond, on peut se rendre compte qu’en début de relation, son accès peut sembler facile. Et petit à petit, il nous semble que les portes se referment régulièrement. Nous devons garder en tête que si nous-mêmes, nous fermons les portes de notre temple, l’autre n’aura pas envie d’ouvrir les siennes. Le plus souvent, il les gardera fermées. Et l’accès à la vérité de l’autre ne sera pas permise. Oui il faut prendre des risques. Oui, on peut être de nouveau déçu. Mais finalement, cette déception ne vient pas de l’autre, mais de l’image qu’il nous renvoie de notre propre blessure. Et pour cela, nous pouvons le remercier de nous montrer le chemin que nous avons à poursuivre… pour répondre à notre besoin de vérité, de sincérité et d’authenticité.

PS : la plupart des articles que je vous propose sont issus de mon propre cheminement, de rencontres qui font écho à des blessures que j’ai moi-même rencontrées, que parfois (souvent!!!) je travaille encore. Ces articles sont une lecture d’une expérience avec le filtre de ma propre expérience. Restez libre d’évaluer vous-même vos sensations, vos expériences pour trouver votre vérité.

Vous avez encore des questions ou des remarques sur cet article ? Posez-les en commentaires, j’y répondrai avec plaisir.

Bien à vous,

Émilie Laure

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#cnv #trahison #blessuredetrahison #besoin #relationauthentique

La résilience, un long chemin

La résilience. C’est un mot fort, parfois utilisé à mauvais escient à mon sens. Pourquoi ? Parce que se relever d’une épreuve en avançant avec les fardeaux du passé, sa souffrance, son déni… reconstruire sur ces bases, ce n’est pas de la résilience. A mon sens, c’est un mensonge.

Je ne le dis en aucun cas pour choquer ou blesser qui que ce soit. Je partage ma réflexion après des années de travail sur moi, à retourner à l’ouvrage, à m’interroger de nouveau lorsque je rencontre une situation qui a encore des odeurs d’un passé désagréable, douloureux.

La résilience, ce n’est pas seulement se relever après un coup. C’est analyser, devenir un véritable alchimiste. Trouver la formule pour transformer le plomb en or est long, douloureux. Oui, c’est douloureux quand on pense avoir trouvé la bonne formule. Wouah, cela brille, cela ressemble à de l’or. Et cela peut nous échapper. La résilience s’inscrit dans un temps long où l’on apprend qui on est, où est réellement notre place.

La résilience, c’est se pardonner parce qu’on le mérite, parce qu’on avait besoin parfois d’expériences douloureuses pour atteindre l’or… sinon on serait toujours dans le plomb.

La résilience est l’œuvre d’un maçon, d’un architecte. C’est reprendre les bases, des bases solides, réfléchir la structure générale, faire des essais, s’y autoriser enfin et laisser la vie couler.

La résilience, art ou science

La résilience se situe à mon sens entre l’art et la science : l’art de vivre, de respirer, de lâcher-prise,

la science d’analyser, de découvrir tel un spéléologue, les profondeurs de son âme, de son être.

C’est méthodiquement étudier les hypothèses des dysfonctionnements. C’est essayer de manière expérimentale de nouvelles procédures.

C’est analyser ce qui a aussi fonctionné : pourquoi, comment ? Comment reproduire cette réussite sans les autres dysfonctionnements ? Trouver la bonne équation, celle qui fait vibrer son âme, amène à l’équilibre.

Oui pour moi, la résilience s’inscrit dans le temps long. J’y crois, non pas par peur, mais par les preuves qui m’entourent au quotidien : de ceux, de celles, des expériences qui ne reviennent plus vers moi… de celles, de ceux, de nouvelles expériences qui se présentent à moi.

Ce sont aussi les situations qui changent parce que je fais bouger mes lignes. Je change de regard, j’affirme qui je suis.

L’enfant blessé se relève. Il sort de ses blessures de rejet, d’abandon, de trahison, d’humiliation, d’injustice. Il grandit. L’adolescent se rebelle encore contre l’ordre des choses. La résilience est un long processus. Il empêche encore certaines choses d’arriver.

Au fond, il peut se dire encore testé. Mais la transformation alchimique est longue. C’est l’épreuve de la patience, de l’empathie, de la compassion.

La fragilité pendant la croissance

Françoise Dolto explique le complexe du homard, ou comment lors de son adolescence l’être est encore fragile à ce moment-là. Et c’est sans doute un moment crucial pour atteindre l’âge adulte le plus sereinement possible, réaliser son grand œuvre : être conscient de sa fragilité et continuer de croître.

Si ce grand œuvre parle à votre âme, si enfin les douleurs disparaissent vraiment (et pas sous un tapis), alors l’œuvre alchimique est en passe d’être réalisée.

Nous sommes nombreux à nous trouver dans la phase de l’enfance ou déjà de l’adolescence. Oui c’est inconfortable. Ce n’est pas le moment de faiblir. Nous ne sommes jamais seul, à aucun moment. Ils sont nombreux à nous soutenir dans l’invisible.

Et que soufflent-ils ? « Avance ! Nous t’aimons. Tu peux y arriver. La résilience t’appartient. »

Oui, c’est un long processus. Mais au fond, nous avons toujours quelqu’un pour nous soutenir. Nous sommes tous des alchimistes.

Tout ce qui se présente à nous peut être dépassé. Nous en avons la force.

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Bien à vous,

Émilie Laure

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Votre place dans l’univers, où en êtes-vous ?

Le sujet vous paraît sans doute ambitieux ou même prétentieux. Il faudra plus d’un article pour répondre à cette question. Cela paraît évident. Je vous propose plutôt aujourd’hui une réflexion globale, une réflexion que vous avez peut-être déjà entamé, mise de côté ou qui vous habite. Il est clair que c’est aussi cette question qui contribue à donner sens à votre vie.

La notion de place renvoie souvent à celle de territoire. C’est aussi renvoyer à vos relations avec autrui : au travail, dans votre famille, avec l’environnement. Et quels peuvent être les outils pour vous repositionner ?

Votre place au travail

Votre territoire se définit certes par votre domicile, votre lieu de vie et ce qu’y s’y déroule. Il se définit aussi par votre lieu de travail et les relations que vous y établissez.

Voir aussi : https://emilie-m.net/geobiologie-traditionnelle-et-geobiologie-holistique/

Votre territoire, c’est aussi votre énergie. Si quelqu’un vous épuise, c’est bien qu’il rentre dans votre territoire et qu’il « s’y sert » ! Pourquoi et comment autorisez-vous quelqu’un à vous déposséder d’une partie de vous-même ? Oui effectivement, vous avez votre part de responsabilité. Je ne cesse de le dire. Vous êtes le seul responsable de ce qu’il se passe. Et le lieu où vous pouvez trouver les réponses est à l’intérieur de vous-même.

Cf. https://emilie-m.net/bien-etre-et-responsabilite/

Votre place dans votre famille

Dans votre famille ou votre couple, la manière dont se déroulent vos relations est révélatrice de la place que vous prenez et que vous acceptez consciemment ou inconsciemment de prendre : un enfant qui prend le dessus sur vous, un conjoint ou une conjointe qui vous domine ou au contraire est absent de toute décision.

Cela peut être aussi visible dans votre fratrie. Quelle place avez-vous l’impression d’avoir ? Avez-vous d’ailleurs l’impression d’avoir une place ?

Êtes-vous le seul ou la seule à vivre ce positionnement ? Ou cela se répète-t-il de génération en génération avec une certaine fatalité ?

Vous avez le droit de changer cela. Et si vous en prenez conscience, c’est que vous êtes la personne qui peut changer cela.

Votre place dans la nature

S’il y a un questionnement à avoir pour tous, c’est sans doute celui-là : votre place dans la nature. Au début de cet article, je titrais avec la question de votre place dans l’univers. J’aurais pu écrire, dans la création. La nature est une représentation de cette création divine.

Comment vous y retrouvez-vous ? Quelle relation entretenez-vous avec la nature… au quotidien ?

Comment vous positionnez-vous ? Au-dessus ? A côté ? En plein milieu des êtres qui la composent ?

Ce ne sont pas seulement vos idées qui montrent votre positionnement, mais aussi vos actes. Vos actes sont-ils en cohérence avec vos idées ? Globalement, quelle que soit votre problématique de place dans votre vie, il s’agit pour vous de vous aligner sur vos pensées, d’aligner vos actes sur les désirs profonds de votre âme. C’est ce non-alignement qui vous fait souffrir et génère le plus souvent des frustrations profondes en vous.

Les outils pour vous repositionner

Une fois identifiées vos problématiques, vous pouvez reprendre en main votre vie. Pour vous repositionner, cela peut prendre du temps, mais le résultat est magnifique.

Plusieurs outils peuvent vous y aider. Le Reiki Usui est un outil efficace pour faire évoluer vos croyances, votre confiance en vous.

Le chamanisme, outil d’expérimentation de soi, vous permettra de demander conseils à vos alliés et d’axer au mieux vos actions. Il vous permet aussi de travailler les leviers et/ou les obstacles à un positionnement plus juste dans votre vie.

Différents outils de reprogrammation existent pour lever vos barrages liés à des charges émotionnelles fortes : LEMO ou EMDR ou balayage oculaire etc.

Pour des problématiques identifiées comme familiales ou émanant de votre famille (psychogénéalogie), il peut être utile de passer par la constellation familiale. Cet outil vous permettra d’arrêter de porter le poids de vos lignées. Vous allégez votre lignée et vous-même et aussi ceux qui viendront après vous.

Au final, votre repositionnement a directement ou indirectement une incidence autour de vous : sur vos proches, vos amis, vos collègues, votre famille. Cela peut aussi contribuer à un repositionnement de leur part, ou tout simplement un éloignement si la relation n’est plus juste.

Voir aussi : https://emilie-m.net/decouvrez-votre-voie/

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Émilie Laure

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Pourquoi travailler l’équilibre de ses polarités ?

Vous vous demandez sans doute de quoi je souhaite vous parler. Que signifie polarité ? + / – ? Ou autre chose ? Le principe de polarité repose souvent sur celui d’opposition. Pour autant, cette définition est rapidement restrictive. En réalité, ce qui s’oppose, se complète aussi.

Et la représentation du Tao en Chine en est le parfait exemple. En Chine, on parle de yin et de yang. Vous pouvez aussi simplement parler de polarité féminine et masculine.

Dans cet article, je vous propose de revenir sur cette notion et comprendre pourquoi il est important de travailler sur l’équilibre de vos polarités.

Vous êtes yin et yang

A l’heure où vous lisez cet article, vous devez penser immédiatement au féminin sacré. Certes, le féminin est une polarité. Il y a aussi celle du masculin. Vous vous incarnez dans une polarité. Pour autant, la médecine traditionnelle chinoise explique que vous possédez les deux polarités en vous. Et que ces deux polarités régissent votre fonctionnement, ainsi que celui de notre monde et de la nature.

Autrement dit, vous êtes yin et yang. Évidemment, si vous devez vous comparer à un collègue, un proche etc. vous pourriez dire que vous êtes yang et lui yin. Il y a toujours un point de référence ou de comparaison si vous préférez. En tout, le yin et le yang sont présents : la lumière/l’obscurité, le froid/le chaud, le vide/le plein etc.

Voir aussi : https://emilie-m.net/la-lune-alliee-du-feminin/

Les polarités s’expriment dans la matière

Bien plus qu’un simple concept issu des traditions asiatiques, vos polarités sont une réalité qui s’exprime dans la matière. Quand vous exprimez davantage votre polarité masculine (yang), vous êtes dans l’action, entreprenant, dégagerez confiance et force. Lorsque vous exprimez votre féminin (yin), vous êtes davantage à l’écoute, dans l’observation, voire l’introspection. Vous pourrez exprimer douceur et compassion.

Au niveau de la santé physique, certaines maladies sont plus yin que yang. Le yin est plutôt rattaché aux organes, alors que le yang est rattaché aux entrailles ou viscères. Ainsi le foie sera davantage yin en opposition à la vésicule biliaire, davantage yang.

Et vous pourriez trouver encore de nombreux exemples de l’expression de ces polarités dans votre quotidien. Donner/recevoir etc.

Lever les barrages à cet équilibre

Vous recherchez tous l’équilibre dans votre vie. L’équilibre de vos polarités est une des solutions pour revenir à l’équilibre de votre vie, d’un point de vue holistique.

Les déséquilibres ont de nombreuses causes : externes et internes.

Vous pouvez agir directement sur les causes internes. Parmi celles-ci, vous pouvez travailler sur les croyances, les événements vécus tout au long de votre vie. Il peut s’agir d’événements liés à votre enfance : de nombreuses techniques peuvent vous aider telles que le Reiki, le chamanisme, la sophrologie, LEMO, EFT, lithothérapie etc. De la même manière, vous pouvez travailler sur vos croyances, celles issues de votre éducation.

Voir aussi : https://emilie-m.net/pacifier-vos-relations-avec-vos-parents/

Et vous pouvez vraiment changer, ainsi que les représentations que vous pouvez avoir des autres et de vos propres polarités. Quel regard avez-vous sur les hommes, les femmes ? Le rôle de parents ? Le fait d’entreprendre ? Etc.

Les exemples sont nombreux. Dès lors que quelque chose vous dérange, c’est un terrain favorable pour amener le changement en vous.

En conclusion, les polarités font partie de votre être et de la vie. Bien plus qu’un simple concept, celles-ci s’expriment dans votre quotidien et dans la matière. Vous pouvez faire évoluer le fonctionnement de vos polarités ensemble et ramener l’équilibre dans votre vie. Soyez pleinement acteur de votre vie !

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Travailler avec les déités serpents

Les serpents sont souvent des animaux mal-aimés. Vous leur attribuez à tort ou à raison des propriétés négatives. Pourtant plusieurs traditions évoquent un travail régulier bénéfique avec les déités des serpents. Dans la tradition népalaise, il est essentiel de respecter les nagas (serpents) sans quoi ils se mettent en colère.

Plus près de chez nous, c’est de la Vouivre dont il question. Et de nombreuses légendes évoquent celle-ci.

Enfin en Corse, la tradition locale évoque les serpents. Certains sont des messagers pour le foyer.

Les nagas

Le nāga est un être mythique de l’hindouisme, mais le mot veut dire aussi basiquement : serpent.

Les nagas dans la religion gardent les trésors de la nature, sont attachés à l’eau et apportent la prospérité. De nombreux temples en Inde vénèrent une statue de serpent ; le serpent est aussi le symbole de la kundalini.

Les déités de l’hindouisme sont toutes représentées avec des nagas. Shiva lui-même porte un serpent autour de son cou.

Les nagas sont très respectés au Népal notamment où on les honore très régulièrement (plusieurs fois par semaine). En tant que protecteurs de la nature, ils peuvent être très courroucés en cas de désordre dans certains lieux. Lors d’un stage avec Bhola Banstola, celui-ci nous racontait comment un projet de mine avait dû s’arrêter. En effet, ce projet s’était développé dans une zone habitée par les nagas, une zone connue pour cela. Mais les minerais présents en-dessous (des trésors !) avaient attirer les convoitises. Les débuts des extractions ont été chaotiques : casses, accidents, maladies. Finalement, les habitants de la région ont été entendus. Enfin partiellement ! Et les nagas aussi ! In fine, la mine a été déplacée.

Les nagas peuvent apporter protection, santé, prospérité à ceux qui les honore. Ils peuvent aider aux bons développement de vos projets.

La Vouivre

La Vouivre inspire un sentiment ambivalent. On ne sait pas vraiment aujourd’hui dans quelle mesure nos ancêtres ont travaillé avec elle. Elle a laissé derrière elle de nombreuses légendes et parfois encore des festivités.

La vouivre est une créature légendaire présente dans plusieurs pays européens, ayant généralement la forme d’un dragon bipède ou d’un serpent ailé. Elle est souvent censée porter une escarboucle sur le front. Elle est aussi appelée guivre.

Elle est décrite comme un serpent légendaire, gardien de trésors fabuleux, ou jeune fille accompagnée de serpents, douée de pouvoirs fantastiques.

En Franche-Comté, en Bourgogne, dans la Lorraine, on nommait vouivres des serpents ailés d’une grandeur prodigieuse qui gardaient les trésors cachés.

Le mot vouivre vient du latin uipera (serpent, vipère). C’est une bête étrange, avec un corps de serpent et les ailes d’un oiseau. Elle est munie d’un œil unique, diamant fabuleux, l’escarboucle, qui jette une lumière si vive que quand le serpent vole d’une montagne à une autre, on dirait un éclair. Des paysans assurent l’avoir vue traverser les airs comme une barre de feu.

La Vouivre cherche l’eau pour se baigner ou se désaltérer, mais surtout à certains moments. Vous pouvez ainsi la rencontrer au bord d’une rivière par exemple ou près d’une cascade. J’en ai d’ailleurs rencontré une dans les Alpes, il y a déjà quelques années. Elle était la gardienne d’une belle cascade.

Dans les légendes, la Vouivre peut avoir mauvaise réputation et elle inquiète alors beaucoup.

Mais la plupart des récits donnent l’impression qu’elle n’est pas dangereuse tant qu’on ne convoite pas son escarboucle. Dans ce cas, l’issue est presque toujours fatale.

Le mot « escarboucle » est dérivé du latin cabunculum qui désignait le petit charbon, la braise, mais déjà par métaphore, la pierre précieuse qui en avait le rougeoiement. Dans la tradition comtoise, c’est un diamant. Or ce diamant est aussi son œil !

Enfin, il existe des fêtes locales comme à Couches (71). Mais cette fête est plutôt là pour célébrer le fait d’avoir vaincu la Vivre (on l’appelle ainsi !).

« C’est une bête apocalyptique, ayant des caractères de serpent et de monstre de la préhistoire. On raconte que ses méfaits ont été innombrables. Elle a dévoré les enfants, affolé la population, semant partout la terreur. On aurait, paraît-il, essayé de lutter contre elle, par exemple en organisant des battues : toutes les tentatives ont échoué. A chaque combat, elle trouve une parade et dévore ses assaillants. C’est ainsi qu’on fit appel à un magicien appelé  »Yoata ». Il réussit à envoûter le monstre par le doux son de sa flûte et à le conduire jusqu’au four spécialement construit pour le rôtir. Malheureusement, le magicien, abandonné par la population, connaîtra lui aussi le même sort. On trouverait là l’origine de l’expression « la mauvaise foi des Couchois » Depuis, la tradition se perpétue et à travers tous les siècles, il en reste périodiquement l’organisation d’une fête grandiose. »

Source : https://www.mairie-couches.fr/la-legende-de-la-vivre

La dernière fête a eu lieu en 2021.

Voir aussi : https://val-suran.net/legende-de-la-vouivre/

Les serpents en Corse

En Corse, pour enchanter le serpent afin qu’il ne puisse se poser sur l’agriculteur pendant les travaux des champs, dans le Fiumorbu, on adresse une prière à Saint Pierre.

Globalement, le serpent ne semble pas si redoutable, comme en Afrique du Nord, où la peau du serpent est un porte-bonheur. Un reptile peut être l’ami du foyer, ce qui est le cas de la Couleuvre en Corse.

A Serra di Scopamena, une couleuvre vient annoncer, la veille, à la maîtresse de maison, l’arrivée d’un membre de la famille. Elle a fini par en faire partie. Et on ne manque jamais de donner de ses nouvelles aux absents.

Ajoutons que certains auteurs estiment que les Corses sont des descendants des Atlantes et que l’île était sous la protection de la déesse Méduse (femme-serpent), déesse ressemblant étrangement à Naga Kanya (déesse des serpents dans l’hindouisme).

Ce sont les quelques témoignages et dires que l’on peut trouver des traditions corses.

Comme de nombreuses traditions, elle est essentiellement orale. Et surtout le chamanisme corse est aujourd’hui réduit très souvent à la spécialité des voyantes, éventuellement quelques guérisseuses.

Les mazzeris, (hommes et femmes) ont perdu de leur superbe, et avec, une partie de la tradition chamanique locale.

Le lien avec les esprits des serpents n’est certainement plus ce qu’il avait pu être en des temps plus reculés et tel qu’on le trouve aujourd’hui dans l’hindouisme et le Népal.

En conclusion, on reconnaît à travers ces trois traditions (népalaise, franc-comtoise et corse) la puissance du serpent. Chez les népalais, les nagas sont honorés plusieurs fois par semaine. Et l’on fait attention à ne pas les courroucer. En Franche-Comté, on reconnaît la force de la Vouivre tout en la craignant et parfois en la combattant. Enfin en Corse, on peut aller jusqu’à accueillir un serpent comme le membre d’une famille. On lui reconnaît alors un caractère de protection.

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Bien à vous,

Émilie Laure

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