Médiumnité, vivre avec son enfant à travers le langage médiumnique et la télépathie

Jeune maman d’une petite fille, j’ai le plaisir de pouvoir poursuivre une expérience entamée avant même le début de ma grossesse : les échanges médiumniques et la télépathie avec mon enfant.

En effet, avant même le début de ma grossesse, j’ai eu la chance d’échanger avec mon enfant sur ses peurs, ses doutes et aussi ses envies. J’ai pu commencer à cerner son caractère avant même qu’elle ne vienne au monde.

Une fois dans mon ventre, j’ai pu en conscience échanger avec elle au quotidien. Cela a permis à mon sens de nouer une relation forte avec elle et de lui laisser toute sa place.

Cela a permis aussi dans certains moments de la grossesse de lui demander son opinion parfois avec l’aide d’une amie.

En effet, ma fille se présentait par le siège à quelques semaines de l’accouchement. Mais elle n’osait pas me dire pourquoi elle ne voulait pas se retourner. Je suis allée voir une amie afin qu’elle puisse faire l’intermédiaire entre elle et moi, même si j’avais la capacité d’échanger avec mon enfant.

Elle m’a alors indiqué qu’elle avait peur de me faire mal. Je lui ai dit qu’elle n’avait rien à craindre ni pour elle, ni pour moi et qu’elle pouvait se retourner à présent.

Je sais qu’elle a essayé de le faire à plusieurs reprises pendant les semaines qui ont suivi. Elle y est même arrivée quelques instants. Mais à trop se balader dans mon ventre, elle s’est entortillée avec son cordon. J’ai donc dû accoucher par césarienne. Pour autant, la césarienne ne lui a pas laissé un mauvais souvenir. Nous en avons « parlé » ensemble.

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Poursuivre les échanges avec son jeune enfant après l’accouchement

Cela est tout à fait possible. Et même préférable ! Après tout, ce serait extrêmement frustrant d’arrêter de communiquer avec ma fille juste parce qu’elle serait sortie de mon ventre et de dire « bon ben maintenant j’attends que tu parles vraiment !!! ».

Nous poursuivons nos dialogues, très intéressants par ailleurs, sur la famille et même d’autres sujets inattendus comme les plantes par exemple ! Elle m’indique ainsi ce qu’elle aimerait découvrir, ce dont elle se rappelle aussi. C’est très surprenant et très intéressant. Je crois que ces communications peuvent stimuler ses connexions avec la mémoire de connaissances dont elle a besoin dans son incarnation.

Je suis contente de cette communication qui permet de nourrir notre relation et la complicité que nous avons déjà connue durant la grossesse. Finalement l’utilisation de nos sens subtils respectifs nous permet réellement de nourrir une relation profonde.

En effet, derrière les paroles prononcées avec les cordes vocales, nous cherchons souvent davantage à contrôler et à masquer certains sentiments. Mais lors d’échanges télépathiques, la communication est plus fluide. Elle me semble aussi plus sincère.

Évidemment cela demande aussi d’être capable de se voir telle que l’on est réellement, imparfaits ! Et notre enfant nous accepte ainsi. Cela ne lui pose aucun problème surtout si cela ne nous en pose aucun.

Je perçois aussi ma fille qui découvre ce monde avec les peurs, cherchant à comprendre ce que sont les peurs et à quoi elles servent. Vraiment nos échanges sont très riches et me nourrissent aussi. Elle me pousse dans mes retranchements pour m’aider à grandir. Et je ne peux que l’en remercier.

Nous grandissons ensemble.

Et cette communication permet aussi de nourrir une réelle complicité.

Les exemples au quotidien sont multiples. Et je souhaite encourager chacun et chacune à communiquer avec son enfant. Cet acte est important. Pour moi, c’est reconnaître l’être divin qui est venu s’incarner, c’est reconnaître l’individu, c’est reconnaître aussi une partie de soi.

Je dis merci à la vie de ce cadeau de pouvoir communiquer ainsi avec mon enfant.

Notre société continue d’évoluer. Et la prise en compte de l’enfant par celle-ci aussi. Je me rappelle le travail réalisé dans le cadre de mon doctorat. Il y a encore peu de temps à l’échelle humaine, nos sociétés occidentales mettaient les enfants de côté. Et aujourd’hui, nous les traitons comme des petits rois.

Lui laisser sa juste place pour grandir

Malgré la communication facilitée avec mon enfant, je m’autorise pleinement à jouer mon rôle de parent. Il est hors de question de vouloir conduire trop rapidement ma fille dans le monde des grands. Et il est hors de question aussi de ne pas jouer ce rôle pour lequel elle m’a choisi celui de mère.

Comme tous et toutes, je suis perfectible et je m’autorise à me tromper. Toutefois, je poursuis aussi ce chemin d’évolution dans lequel mon rôle de femme, de mère et d’épouse importe.

La communication avec mon enfant me permet aussi de lui rappeler que nous povuons certes échanger sur des sujets variés et aussi lui rappeler que je suis sa mère. Et que je me positionne aussi parfois en tant que telle quand il y a besoin.

Tout reste compatible !

Alors pour les jeunes mères, jeunes parents et même les autres membres de la famille, essayez de communiquer de la sorte et vous verrez le très jeune enfant bien différemment.

Je vous souhaite à tous une belle semaine.

Émilie Laure

12 réflexions sur « Médiumnité, vivre avec son enfant à travers le langage médiumnique et la télépathie »

  1. C’est clair, que c’est cool et surprenant parfois…
    Je me souviens encore quand Noemie a choisi son prenom !
    L’aptonomie aide bien au debut et dès qu’on s’imagine relié et connecté, la suite arrive très vite.
    Merci pour ce partage…

  2. Tres intéressant. Je cherche moi même des articles traitant du sujet car je pense avoir un lien telepathique avec ma fille. (4 ans) depuis toujours je me réveille avant qu elle même se réveille mais cela ne m avait pas intrigué plus que cela. En effet j ai une super oreille et je misais un peu de ce côté pour expliquer ça et aussi un peu sur des choses subconscientes. Mais c est quand elle a commencé à parler surtout car il y a eu plusieurs fois où elle a parlé de choses auxquelles je venais de penser. Je précise qu il n y avait aucun rapport avec la situation qu on vivait dans le présent. Je me disais comment elle a fait ? Et puis il vient d y avoir aujourd’hui encore un cas. J étais assise à côté d elle et je me disais que j avais mal à la tête. 2 minutes après elle m a dit: quoi maman ? Tu as dit quoi? T as mal à la tête? Je n avais rien dit du tout et je suis sûre maintenant de la véracité de ce lien.

    1. Bonjour
      Je vis la même chose
      Je cherche à mieux comprendre et mieux « utiliser  » ce lien. Avez-vous trouvé qqch pour vous aider? Même si bon, vous avez rédiger ce message il y a 5 ans! Lol

      1. Bonjour et merci pour votre commentaire. A mesure que ma fille grandit, nous nous appuyons effectivement sur d’autres outils et notamment le langage symbolique. Son regard et nos échanges plus subtils viennent compléter ce qu’elle n’arrive pas toujours à formuler par la parole. Elle me raconte par exemple ses rêves, aussi dessine ses émotions. Je prends le temps de « lire » ceux-ci avec le cœur, un langage plus subtil avant d’en reparler de vive voix avec elle. Nous savons que nous touchons la bonne idée quand nos enfants se détendent, hochent de la tête. C’est un travail constant. A mon sens, il n’y a que la pratique pour nous aider à développer ce lien et nous autoriser à l’erreur.
        Bien à vous,
        Émilie Laure

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