Oser poser les bons mots sur ce que nous vivons est important afin de ne plus parler de superstitions ni tomber dans la fatalité. C’est ainsi nous permettre de redevenir acteurs et responsables de nos vies.
Dans ce sens et sur mon chemin de vie, j’ai pris conscience de l’importance d’informations qui pouvaient limiter nos comportements, notre évolution et nous conduire dans des schémas répétitifs.
Il existe de nombreuses thérapies qu’elles soient comportementales ou énergétiques qui visent à nous conduire vers le mieux-être.
Toutefois certaines d’entre elles ne sont pas suffisantes face à des informations encodées au plus profond de nos cellules, les fameuses mémoires cellulaires.
Alors que faire ?
Les mémoires cellulaires, des informations
Il est d’abord primordial de revenir à l’essentiel en comprenant que les mémoires encodées dans nos cellules constituent des informations. Dans de nombreux pays, on le reconnaît. En France, on a un peu plus de difficultés à le faire.
Observez le sort de l’homéopathie remise régulièrement en question. L’homéopathie travaille sur les informations et transmet de nouvelles informations afin d’apporter un mieux-être au patient.
Et bien sûr en comprenant le profil ou le tempérament de la personne, l’homéopathe travaillera avec tel type ou tel type d’information, cherchant à contrer le terrain de la personne.
On reconnaît ainsi à travers l’homéopathie, mais aussi d’autres thérapies, qu’il existe un terrain dirons-nous génétique favorisant l’émergence de pathologies, qu’elles soient physiques, mentales ou émotionnelles. Ne parle-t-on pas de psychogénéalogie par exemple ?
De nombreux travaux dont ceux de scientifiques français ont mis en évidence les propriétés de mémorisation de nos cellules mais aussi de tout autre cellule non humaine. Je pense notamment à Jacques Benveniste mais aussi à Luc Montagnier, Prix Nobel qui poursuit actuellement les travaux de Benveniste malgré les critiques du milieu scientifique.
Dans quelques années, on le verra comme un scientifique courageux qui aura été capable de remettre en jeu un titre honorifique de taille.
Au Japon, les travaux de Masaru Emoto sur la mémoire de l’eau montrent non seulement les capacités de mémorisation des cellules constituant l’eau mais surtout la capacité à changer l’information contenue dans ces cellules.
Reprogrammer nos cellules
A l’heure où de nombreux scientifiques poursuivent leurs travaux sur le décodage du génome humain, afin de mieux comprendre certaines pathologies, plusieurs thérapies énergétiques proposent quant à elle de travailler directement sur les mémoires cellulaires à l’origine de maux ou événements vécus quotidiennement par les personnes. Il peut s’agir d’accompagner un traitement allopathique sur des pathologies chroniques. Il peut aussi s’agir pour la personne de vouloir sortir de schémas répétitifs : relations conjugales violentes ou de dépendances, échec au travail, relations familiales de dépendances.
Bien souvent, on en trouve l’origine dans des mémoires cellulaires, celles-là même que les scientifique aimeraient identifier et dont une partie constitue aux yeux des scientifiques un ADN « poubelle ».
Ces mémoires cellulaires peuvent être changées. Il ne s’agit pas de promesse. Le travail selon les spécialités et selon les personnes peut demander une ou plusieurs séances. Avant d’avoir mis en place ce travail pour autrui, je l’ai d’abord expérimenté pour moi. Et le travail n’est jamais fini.
Il existe toujours un axe de progression en chacun de nous et des limites qui se font jour sur d’autres problématiques.
Quand je regarde parfois en arrière, je vois déjà le chemin parcouru en quelques années seulement et avec la volonté farouche d’évoluer et de faire tomber les limites, les peurs et les carcans qui m’entouraient.
Cette volonté est toujours mienne pour moi-même, ma famille et autrui. Et quand il s’agit d’autrui, on ne peut raisonnablement lever ces mémoires qu’avec la participation consciente de la personne.
C’est ainsi que les informations contenues dans nos cellules peuvent être changées, progressivement et en respectant le rythme de chacun.
Je vous propose de développer cette question au cours d’une conférence, le 11 mars prochain à Biomonde Le Creusot à 16h30 et le vendredi 21 avril prochain à 20h à Mours Saint Eusèbe.
Belle journée à tous,
Émilie Laure
Une réflexion sur « La mémoire cellulaire, une fatalité ? »