Archives de catégorie : Retour d’expérience

L’azurite

Bonjour à tous,

Aujourd’hui j’ai choisi de vous parler d’une pierre que j’aime beaucoup l’azurite.

Azurite brute
Azurite brute

L’azurite est une pierre de couleur bleu foncé. On la trouve aussi bien en pierre brute qu’en pierre roulée. Facile à trouver, elle est souvent associée à la malachite. SI vous faites les bourses des minéraux, vous pourrez trouver cette combinaison facilement. On trouve l’azurite  aux États-Unis, en Australie, en Chine, au Pérou, en France, Namibie, Russie et en Égypte.

Chez Judy Hall, cette pierre est décrite  comme pouvant guider le développement psychique et intuitif, menant l’âme vers l’illumination. On l’associe d’ailleurs généralement au troisième œil qu’elle purifie et stimule. C’est une pierre puissante qui permet de comprendre les effets psychosomatiques du mental et des émotions sur le corps.

Parmi les propriétés qu’on lui attribue, on retient notamment que l’azurite élimine le stress, l’inquiétude ou encore le chagrin et la tristesse.

Et pour le corps ?

Azurite roulée
Azurite roulée

L’azurite peut être employée en cas de maux de gorge, d’arthrite, de troubles articulaires. Elle aligne la colonne vertébrale, soigne les reins, la vésicule biliaire, les troubles hépatiques, la rate, la thyroïde, les os, les dents, la peau.

On peut la poser sur le troisième œil au cours d’une méditation. Toutefois si des palpitations apparaissent, l’enlever immédiatement.

La combinaison avec la malachite

Comme je vous le disais, vous pouvez trouver des azurites associées à des malachites, notamment dans des bourses aux minéraux par exemple. Peut-on les utiliser en lithothérapie ? Oui ! Voici les indications pour lesquelles on peut à priori utiliser cette combinaison : elle déverrouille la vision spirituelle, ouvre le troisième œil. Elle guérit profondément, élimine les blocages anciens et soulage les crampes musculaires. Attention, cette combinaison est très puissante.

En outre, je vous rappelle l’importance de bien nettoyer vos minéraux régulièrement et notamment lors de vos acquisitions. Vous ne savez pas entre quelles mains ils sont passés. Ils ont pu se charger négativement, perdre une grande partie de leur énergie. Aussi nettoyez-les énergétiquement par exemple en utilisant la fleur de vie ou une coquille Saint-Jacques. Ces deux moyens permettront aussi de faire remonter les vibrations de vos minéraux pour une utilisation optimale.

A bientôt pour un prochain article et belle découverte de l’azurite.

Bien à vous,

Émilie Laure

Le végétarisme, mon choix

Le végétarisme, pour moi n’a pas été un effet de mode, comme beaucoup de réfractaires ont tendance à le penser. « On souhaite être original ! Sortir du lot »…

C’est loin d’être toujours confortable justement de sortir du lot. Il existe tellement de préjugés sur l’alimentation végétale, dont la première serait qu’une personne végétarienne serait carencée !

Mais revenons sur mon choix d’abord !

J’ai découvert le végétarisme comme on découvre n’importe quelle pratique. Des amies habitant en Isère, m’avaient un jour indiqué lors d’une invitation à dîner qu’elles étaient végétariennes. Elles étaient bouddhistes également et m’avaient expliqué que leur pratique alimentaire était liée à leur approche bouddhiste. J’avais adapté mon repas avec plaisir à ces amies.

Dans la même période, une autre connaissance m’avait indiquée être végétarienne aussi. Je peux dire que j’étais très ouverte à leur approche et à cette pratique alimentaire de fait.

Pour autant, je mangeais ce que la majorité des occidentaux mangent : viande rouge, viande blanche, charcuterie etc. Et j’aimais ça !

A mon retour en Bourgogne en 2011, je me nourrissais encore de viande et de poisson à tous mes repas. D’ailleurs plusieurs personnes de ma famille me rappelaient – j’étais très fatiguée à l’époque – qu’il était primordial de manger de la viande : viande rouge au moins une fois par semaine, poisson une fois par semaine etc.

Au cours de cette période, j’ai commencé à avoir des troubles intestinaux de plus en plus importants. Et un jour, mon médecin généraliste m’a diagnostiqué une colopathie fonctionnelle. La seule réponse allopathique à une telle pathologie est de vous donner des médicaments, sans chercher à savoir d’où viennent ces troubles. On traite les symptômes.

Afin d’éviter la surmédication que vivait ma maman atteinte de la même pathologie depuis presque 40 ans, j’avais décidé de travailler avec un herboriste.

De nouvelles rencontres

Et c’est en 2013 que j’ai rencontré une femme, végétarienne à temps partiel, qui m’a remis sous les yeux cette notion de végétarisme.

En juin 2013, je passai mon premier degré Reiki. Au cours de la formation, mon Maître nous avait déconseillé de manger de la viande rouge et de boire de l’alcool, ces aliments étant plutôt en contradiction avec le travail réalisé pendant le week-end d’initiation.

Au cours de l’été 2013, je me suis retrouvée à faire du camping, sans réfrigérateur. J’ai fait alors le choix de ne pas manger de viande pendant cette période ou en tout cas d’en limiter la consommation.

J’ai alors remarqué que je me sentais plus légère et que j’arrivais à mieux digérer. Parallèlement, les messages de mes guides m’ont confortée.

Les mois qui ont suivi ont été parfois difficiles. Mon corps était habitué à la viande. C’est comme s’il avait fallu le désintoxiquer. Je mangeais encore du poisson. Je n’étais donc pas encore végétarienne. Et il y avait encore les croyances familiales sur les carences possibles.

Mes guides m’ont alors indiqué qu’il fallait que je poursuive sur ce chemin. En revanche, il fallait que j’arrête rapidement les produits laitiers. C’est ce que j’ai fait quelques mois plus tard en 2014.

Et encore quelques mois plus tard, j’ai cette fois-ci arrêté le poisson, devenant alors réellement végétarienne. Dans un premier temps, je peux clairement dire que je suis devenue végétarienne pour des raisons de santé.

Il me fallait soulager mon corps, mon système digestif et comprendre ce qu’il n’arrivait plus à digérer. La dernière fois que j’ai mangé un poisson, je me rappelle avoir regardé ce corps – oui un corps – devant moi, dans mon assiette. Je me rappelle m’être demandée comment j’allais faire pour le manger.

J’ai eu beaucoup de mal à le finir. C’est la dernière fois que j’ai mangé du poisson.

Le végétarisme, comme prise de conscience

Lorsque j’ai arrêté de me nourrir de viande, j’ai d’abord eu du mal dans mon corps à m’en passer. Cela ne me faisait pas envie, mais il y avait comme un manque… comme si j’avais été droguée. Il m’a fallu trouver d’autres manières de me nourrir.

Mais devenir progressivement végétarienne m’a permis de redécouvrir les merveilles de la nature et la richesse des aliments qui nous entourent.

Peu à peu, j’ai eu de plus en plus une prise de conscience : ceux que nous mangeons ne sont pas si différents que cela de nous. Enfin le fait d’avoir développé la communication intuitive avec les animaux m’a complètement confirmé dans ce choix que j’avais réalisé. Je ne pouvais pas manger des amis, des frères. L’idée même m’écœurait.

J’ai aussi eu une autre prise de conscience à mesure que je suivais des formations dans le domaine énergétique. Les animaux souffrent dans beaucoup d’élevage. Ils sont souvent privés de leur mère à la naissance, meurent prématurément, sont gavés de médicaments de toutes sortes et meurent dans d’atroces souffrances.

Comment dans ces conditions, manger un animal mort dans de telles conditions et vibrant des énergies basses peut-il nous nourrir sainement sur tous les plans ?

Ma démarche intuitive de changement d’alimentation s’expliquait enfin totalement. Les scientifiques reconnaissent l’intelligence de notre intestin (tel un deuxième cerveau). Eh bien, je fais partie des personnes dont les parois digestives sont hypersensibles. Cette sensibilité s’exprime ainsi par le fait que je ne peux pas avaler n’importe quelle énergie. J’ai compris que je sentais la souffrance des animaux et que celle-ci me faisait mal. Je ne pouvais plus supporter de l’avaler.

De même les poissons meurent dans une agonie totale, asphyxiés. Si on devait comparer ce type de mort avec ce que nous pourrions vivre, nous mourrions noyés tout simplement.

C’est ce qui leur arrive.

De fait ma démarche végétarienne est tout à la fois une démarche de santé mais aussi spirituelle.

Végétarisme, végétalisme, véganisme

Comme je vous l’indiquais plus haut, j’ai aussi arrêté de consommer tout produit laitier. Là encore les peurs familiales conduisaient à se poser la question suivante : mais où vas-tu trouver le calcium nécessaire à tes apports quotidiens ?

D’abord force est de constater que le lait contient de la souffrance, la souffrance de la mère séparée de son enfant. Ensuite nous n’avons pas besoin de lait issu des autres animaux. Le seul lait dont nous avons besoin enfant est celui de notre mère. Et une fois sevré, nous n’en avons pas besoin.

En outre, la digestibilité du lait de vache est remis en question par des scientifiques depuis plusieurs années à présent et l’assimilation du calcium contenu dans ce lait également. Évidemment cela pose des problèmes à l’industrie laitière créée juste après la seconde guerre mondiale afin de relancer l’économie. Comment va-t-elle survivre ?

La question est plutôt de savoir comment vivions-nous sainement avant de développer de telles pratiques ?

Le végétalisme est la pratique consistant à ne manger aucun produit issu des animaux. Je ne suis pas végétalienne, même si je tends vers cette pratique. En effet, je mange encore des œufs. Je fais de mon mieux pour respecter les poules, en choisissant des produits de qualité – bio particulièrement – afin de m’assurer le plus possible de tendre vers le bien-être de ces animaux.

Au cours de mon cheminement, je me suis posée la question aussi de savoir si je deviendrai végan.

Être végan, c’est vivre sans le moindre produit issu d’un animal (ni sa viande, ni sa peau, ni son lait).

Je me suis posée beaucoup de questions sur la cause animale. Avons-nous réellement besoin d’exploiter les animaux pour vivre décemment ? J’ai deux canapés en cuir. Je les regardais étrangement. Je me demandais comment je pouvais m’asseoir dessus. A une époque cela m’était insupportable. Je souhaitais faire l’acquisition d’un tambour chamanique. Là aussi, que choisir ?

Un tambour avec une peau animale ou synthétique ?

C’est en développant la communication avec les esprits que ma réponse est venue.

Certes je n’avais pas les moyens de changer mes canapés. Mais j’avais le moyen de respecter et de donner du sens à la vie qui avait été sacrifiée pour les réaliser. C’est ce que j’ai choisi de faire en remerciant l’esprit de l’animal à l’origine des mes canapés.

J’ai aussi pris la décision de ne plus acheter de cuir animal. Il existe aujourd’hui des cuirs synthétiques d’excellente qualité.

Et mon tambour chamanique ? J’ai choisi de travailler avec l’esprit d’un être, une chèvre. Et j’ai donc choisi un tambour avec une peau de chèvre.

Après chaque travail, je remercie l’esprit de mon tambour et l’esprit de la chèvre. Je reconnais l’importance de cet être dans ma vie. Je lui redonne sa place dans la vie.

Certes je ne suis pas végan, mais je tends vers cette pratique.

Je tends surtout vers le respect de tout ce qui vit.

Et c’est finalement ma démarche globale dans ma relation avec les animaux.

Je les remercie de m’avoir nourrie lorsque je pensais en avoir besoin. Aujourd’hui je suis heureuse de contribuer à la vie en réduisant la consommation de ces êtres merveilleux. Je suis heureuse aussi de contribuer à la réduction de la pollution que leur exploitation induit.

Le végétarisme est un choix que j’assume pleinement aujourd’hui sans le revendiquer de manière ostentatoire. Je le vis. C’est tout.

Et les carences alimentaires ?

Ma santé s’est nettement améliorée depuis mon changement alimentaire. Mais force est de constater que mon mode de vie a changé aussi. Je suis devenue énergéticienne. Je prends davantage soin de moi qu’il y a 10 ans en arrière.

Et mon entourage est toujours étonné de voir la force physique et l’endurance que je possède malgré mon mode de vie et mon mode d’alimentation. Il constate que je prends rarement des compléments alimentaires et même très nettement moins que les personnes qui disent se nourrir normalement.

Je peux passer des journées entières en randonnée en montagne avec plaisir et étant même moins fatiguée que certaines personnes.

Dernièrement, mon médecin généraliste – que je vois une fois par an maximum – a demandé des analyses de sang. Il a notamment demandé une analyse sur le fer.

Beaucoup de personnel médical possède la croyance que les végétariens ont forcément des carences en fer.

Lorsque j’ai récupéré mes résultats, le médecin était juste bluffé. Tout allait parfaitement bien. Si vous veniez à la maison, vous pourriez constater la diversité de mon régime alimentaire. Et la clé de ma bonne santé réside dans le plaisir de manger. Je reste gourmande. Je me fais du bien. Et je cherche à être à l’écoute de mon corps.

Cette pratique ne s’est pas développée du jour au lendemain. Je tends vers cette pratique. Je fais de mon mieux quotidiennement.

Parfois je me fais des plateaux télé où je descends un paquet de chips et des cacahuètes. Et alors ? Je me fais plaisir !

Alors quoique vous mangiez, mangez-le sans culpabilité et avec plaisir !

Je vous souhaite un bon réveillon de la Saint Sylvestre.

A l’année prochaine !

Émilie Laure

Prière du chat

Cadeau bonus de cette semaine, j’ai reçu il y a déjà plusieurs semaines, une prière dédié au chat et à l’esprit de cet être merveilleux. Elle peut nous aider à grandir ou à soigner les êtres que vous aimez, qu’il s’agisse d’animaux ou d’être humains. Il suffit de l’adapter en remplaçant quelques mots. Je vous laisse la découvrir.

Bien à vous.

Émilie Laure

Prière du chat

Je bénis le chat guérisseur, le chat porteur de messages divins, celui qui guérit mon âme, mon corps et mon être.

Sois bénis pour toujours, parmi tous les êtres vivants sur cette terre.

Que le chat soit de nouveau reconnu en tant qu’être divin de plein droit. Qu’il m’apporte une guérison totale et définitive de tout mon être. Je le bénis au nom de la Source, de la Sainte Vierge, Marie/Isis/Ishtar. Qu’il soit reconnu à présent comme l’allié du féminin sacré et qu’il soit remercié pour son concours dans notre vie.

Amen

Passeur d’âmes

Une magnifique journée de dimanche qui m’inspire une réflexion…

Ce dimanche, nous nous sommes rendus à l’initiative de l’association Eveil’heures sur plusieurs sites autour de Broye.

Et force est de constater que nous avons notamment beaucoup œuvré pour permettre à des âmes de passer dans la lumière. J’ai servi de passage pour un grand nombre d’entre elles.

Mais c’est ensemble que nous les avons préparées à passer.

Passeur d’âme

Mais au fait de quoi parle-t-on ? En discutant avec un ami ce dimanche, nous avons pris conscience que certaines personnes, par empathie ou pitié, pouvaient être tentées de s’improviser « passeur d’âme ». Effectivement un passeur d’âme est celui qui joue le rôle de pont entre plusieurs espaces ou dimensions. Il peut ainsi ouvrir une porte ou un passage à une âme qui aurait manqué son tour. Oui, mais…

Prendre conscience de sa mort

Certaines âmes ne sont pas toujours prêtes à partir. Et le passeur d’âme peut être aussi celui qui parlemente avec beaucoup de bienveillance et d’amour et surtout sans jugement.

Beaucoup d’âmes sont souvent bloquées parce qu’elles ont été jugées. Il existe de nombreuses raisons qui les empêchent de monter.

Ce que nous avons pu notamment constater ce dimanche comme points communs, c’est le fait de nourrir des vibrations basses : colère, rancœur, haine, dégoût, douleurs etc.

Pour les faire monter, il est alors nécessaire de les préparer en les déchargeant d’une partie de leurs souffrances, leur montrer leur lumière et les rendre pleinement acteurs de ce passage, en les faisant prendre conscience pour les uns de leur mort, pour les autres de l’amour que nous leur portons.

Les animaux aussi

Même les animaux peuvent avoir besoin des services du passeur d’âme.

Ce dimanche, j’ai ainsi trouvé face à moi un bœuf, des canards et aussi un chien. Ce dernier était tellement heureux de passer dans la lumière qu’il me léchait abondamment le visage.

Avec d’autres âmes, j’ai dû davantage parler.

D’autres enfin avaient besoin que nous comprenions leur douleur. Je pense notamment à cet être qui avait été incarné en tant qu’handicapé mental et dont nous avons senti la détresse et la douleur.

A présent, ils ont fini d’errer.

Et je m’en satisfait pleinement.

Pour conclure cet article

Je souhaite juste mettre en garde les personnes empathiques ou celles qui souhaiteraient « jouer » au passeur d’âmes. Soyons humble. On peut entendre ou percevoir des défunts. Pour autant, sachez faire appel aux personnes qui sauront vous aider. Évitez d’expérimenter seul le fait de faire passer des âmes.

Celles-ci peuvent laisser des traces de leur souffrance au passeur d’âmes ou finalement rester accrochées. Une bonne hygiène de vie est indispensable pour réaliser cela. A mon sens, il est nécessaire par exemple d’avoir un ancrage solide et d’être bien incarné pour assurer ce rôle.

Enfin dans ce qui touche à l’ésotérisme, beaucoup de phénomènes semblent extrêmement fascinants. Pour autant, notre évolution repose aussi sur de la prudence et de la bienveillance envers soi-même Soyons humble face à la vie.

Belle journée à tous,

Émilie Laure