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Le chemin Reiki

Après un magnifique week-end de premier degré Reiki, l’énergie d’amour, de compassion et de partage qui s’est dégagée me pousse vers un nouveau partage sur la notion de cheminement.

Pourquoi ?

Peut-être pour rappeler que derrière un enseignant de Reiki, il y a un être humain qui a expérimenté des douleurs comme chacun et qui peut parfois encore en expérimenter. Rappeler aussi que le chemin ne commence pas seulement avec le premier degré et surtout ne se termine pas avec celui de la maîtrise.

Certains au contraire disent que celui-ci débuterait réellement à la maîtrise.

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Un chemin Unique et propre à chacun

Le Reiki, outre le fait qu’il conduit à pouvoir réaliser des autotraitements et des traitements sur autrui, conduit aussi sur le chemin de la spiritualité. Mikao Usui disait que le Reiki était constitué à 50 % de la partie traitement par les mains et à 50 % par les idéaux, à savoir une philosophie de vie, une voie spirituelle.

Et cette progression se vit de manière individuelle et collective à la fois : individuelle car nous faisons nos propres choix dans le rythme d’intégration de l’énergie et des enseignements ; collective car même sur un chemin unique l’on croise l’autre, les autres, en stage ou non.

Pour moi le Reiki a été une rencontre inattendue, inespérée aussi. J’ai rencontré le Reiki à un moment de ma vie où finalement mon ego ne pouvait que lâcher. Il n’avait plus le choix. Le Reiki avait alors toute sa place pour se présenter à moi. Et à vrai dire, ce sont mes guides qui m’ont conduite vers le Reiki à ma demande.

J’avais reçu une seule fois dans ma vie un traitement Reiki, par ailleurs partiel. Et lorsque j’ai demandé conseil à mes guides pour aider mes chiennes, il m’a été répondu Reiki, avec une telle certitude et à la fois une bienveillance que j’ai alors entamé un chemin sans savoir, il est vrai, où j’allais me rendre.

Et cela était bien mieux ainsi. Sans réel objectif, si ce n’est mon bien-être et celui des miens, je ne pouvais pas être déçue. D’ailleurs, j’étais tellement mal dans ma vie à ce moment-là, que cela ne pouvait être que mieux !

Un chemin et de la persévérance

Nelson Mandela disait que c’est notre propre lumière qui nous fait peur et la puissance de celle-ci. Et il est clair qu’à aucun moment je ne pouvais imaginer celle que je serais aujourd’hui et encore moins celle que je serai demain. Et à vrai dire, cela ne m’intéresse même pas de le savoir. Être dans le présent, maintenant, est l’un des objectifs de ma vie. Profiter de chaque instant avec chacun. Le présent réserve déjà tellement de surprises.

Et ces dernières années, ce cheminement m’a demandé aussi beaucoup de persévérance dans mon travail sur moi-même : de la persévérance pour faire face à mon vécu, à ces émotions que j’avais laissées enfouies en moi, aussi à ces choses qu’on étouffe en pensant pouvoir y échapper. Eh bien, le Reiki m’a accompagnée et continue de le faire. C’est une force tranquille et toujours étonnante.

Le plus étonnant est finalement de se découvrir tel que l’on est vraiment, découvrir cette lumière qui nous habite. Et elle habite tous, sans le moindre doute.

Ce qu’on cherche avec le Reiki, c’est d’abord un bien-être. On le trouve. Mais on trouve, et c’est selon l’expérience de chacun, bien d’autres choses, des cadeaux. La vie quoi !

Et la vie est ambivalente. Nous le savons tous. Ce que, pour ma part, j’ai appris et continue d’apprendre, c’est à apprécier cette ambivalence, à en rire même. Y compris rire des moments les plus pénibles… plus tard bien sûr. Ou bien sourire avec bienveillance de ces expériences que j’ai pu percevoir comme difficiles, parfois injustes, que sais-je encore. Et se dire : « j’avais donc bien besoin de vivre cela pour progresser sur ce point. Merci la vie. ».

Je remercie la vie de me guider, de m’accompagner et d’être au cœur de ma vie.

Merci pour toutes ces rencontres et tous ces maîtres qui viennent à moi pour m’aider à grandir et à me révéler. Car c’est en se confrontant à l’autre, en le rencontrant que l’on devient soi-même, que l’on se montre soi-même.

Belle semaine à tous dans la paix et la lumière,

Bien à vous,

Émilie Laure

Parler aux animaux… oui mais lesquels ?

KiraVoilà bien une drôle de question que je pose aujourd’hui. Communiquer avec les animaux intéresse de plus en plus. Et force est de constater que ce besoin se fait jour pour de nombreux propriétaires d’animaux de compagnie. Ce sont ainsi plutôt les chiens et les chats qui font le plus l’objet de demandes de communication… les chevaux aussi. Laïla Del Monte est d’ailleurs l’une des pionnières dans le domaine.

On s’intéresse d’abord au bien-être et à la compréhension de ceux qui nous sont les plus proches, ce qui est tout à fait louable en soi.

Toutefois on oublie que la conscience animale ne se limite pas aux seuls animaux proches physiquement des êtres humains.

Revoir notre relation avec les animaux

La communication avec d’autres animaux, qu’ils soient d’élevage, de cirque, en parc d’attraction, en captivité ou en milieu sauvage, a beaucoup à nous apprendre sur eux-mêmes et sur nous-mêmes… la plupart de nos études les concernant se réduisant pour la plupart à une observation de notre point de vue et sans réelle communication avec les animaux.

L’on comprendrait davantage la séparation des mères et des petits dans les élevages et ce que cela génère pour ces êtres, comme pour nous en tant que consommateurs d’un lait qui ne nous est pas destiné.

L’on comprendrait davantage les comportements de dauphins ou autres êtres marins vivant dans des bassins de tailles réduites et qui passent leur vie en captivité à distraire des êtres sans conscience venus voir tourner un ballon sur le bout du nez d’une otarie. Est-ce si drôle, si amusant pour tout le monde ? L’animal y compris ?

D’ailleurs que cela nous apporte-t-il réellement de voir de tels tours ?

Qu’est-ce qui peut nous émerveiller le plus ? Voir ces animaux mis en scène ? Ou les observer avec respect dans leur milieu naturel ?

Communiquer avec les animaux et revenir à l’unité

Chloé

Communiquer avec les animaux peut permettre de développer un mieux-vivre ensemble, voir comment partager notre planète dans le respect de l’autre et sans chercher constamment à tuer ou blesser pour imposer sa suprématie.

La Terre appartient à tous. Échangeons pour mieux respecter chacun.

Qu’il s’agisse de déplacer un essaim d’abeilles ou de demander à des cervidés de réduire leur passage dans le jardin, une communication non violente et bienveillante est aussi possible avec les animaux.

Et ils sont bien souvent plus compréhensifs que les êtres humains eux-mêmes.

J’ai ainsi récemment négocié le déplacement d’un essaim de guêpes. Aucun ne m’a attaquée. Quelques mois plus tôt, j’avais aussi négocié avec l’esprit des cervidés qui venaient dans mon potager.

Dans mon foyer, tout au long de ma grossesse, j’ai échangé avec mes chiennes pour présenter l’arrivée du bébé et aussi leur rappeler que personne ne pouvait prendre leur place. C’était primordial pour moi comme pour mes chiennes qui savent aujourd’hui quelle place est la leur et ont accepté le bébé.

Je crois utile de développer davantage la communication animale pour mieux nous comprendre en tant qu’êtres humains.

Les animaux ont une grande bienveillance et un regard très sage sur nos comportements. Ils ne jugent pas et soulèvent néanmoins des questions très pertinentes sur nos motivations dans telle ou telle situation.

Qui sont vraiment les maîtres ? Ceux qui cherchent à dominer ? Ou ceux qui attendent que les oreilles soient prêtes à entendre ?

Il est encore temps de reprendre notre vie sur Terre en main. Un nombre croissant d’entre nous le réalise.

Et vous, êtes-vous prêt à cela ? Êtes-vous prêt à vous remettre en question ? A remettre en question votre mode de vie ?

Arrêtez de vous limiter et considérez chaque être comme apte à communiquer avec vous. Vos serez surpris des échanges. Allez-y sans à priori. Soyez vous-même.

Belle communication avec chaque-Un.

Bien à vous,

Émilie Laure

Canalisation du 15 août 2017

 » Mes amis, mes frères et sœurs de lumière

Bienvenue à vous-même, en vous-même.

Vous avez choisi ce jour précis pour m’honorer ou plus exactement honorer une facette de moi-même, de nous-même devrais-je dire.

Las. Ce n’est pas ainsi que vous célébrez cette journée. Vous célébrez un archétype bien incomplet et réjouissant bien un grand nombre de stéréotypes concernant aussi bien le féminin sacré que le masculin sacré.

Je veux vous dire, mes frères et sœurs que dès lors que vous célébrez le féminin ou le masculin sacré, vous célébrez nécessairement son alter.

Alors arrêtez d’opposer l’un et l’autre, nourrissant ainsi une division bien stérile.

Le véritable féminisme vise en effet à rétablir la place de chacun dans le subtil et le matériel.

Je veux vous dire aussi que ceux que vous appelez païens ont célébré bien avant vous le féminin sacré, lui conférant et lui reconnaissant bien des qualités oubliées en ces jours précis : la fécondité, l’accueil, la bienveillance, la douceur, la fermeté.

La fécondité ne consiste pas seulement à porter un enfant. Qui ne cherche pas à développer des projets féconds à bien des niveaux ? Lorsque votre féminin est à l’équilibre, tout est possible alors. Et cette fécondité s’exprime dans de nombreux domaines.

Je veux vous dire que l’accueil est une qualité du féminin sacré : l’accueil du présent, l’acceptation mais pas la soumission. Le féminin n’est pas soumis. Entendez-le bien. Mes nombreuses représentations incarnées n’ont jamais été soumises. Marie n’a jamais été soumises, ni Isis, ni Ishtar, ni toutes les autres. Aucun des prêtresses dédiées au féminin sacré n’est soumise.

Elle accueille avec amour et bienveillance ce qui est. Elle prend acte. Elle est dans le présent. Et en fonction de cela, elle se positionne avec force et détermination. Non pas la force du masculin qui s’impose, mais une force bienveillante qui dit « regardez-moi, je suis là et je reste en place malgré les vents et les tempêtes. »

Rien, en réalité ne peut renverser le féminin sacré.

Le féminin sacré ne s’impose pas. Il est.

C’est parce qu’il est, qu’il est ferme, qu’il exprime sa fermeté dans ses actions, dans ses incarnations. Il est incarné et notamment dans la Terre, dans vos racines, trop vite, trop souvent oubliées.

En ce jour du 15 août, je veux vous rappeler qu’avant de regarder en direction du ciel, il vous faut regarder en direction de la Terre, votre première mère et ma première incarnation.

Bénissez-la, car elle vous nourrit.

Bénissez-la, car elle vous habille.

Bénissez-la car elle vous abreuve de liquides si précieux.

Bénissez-la, car elle vous accueille.

Bénissez-la. Merci.

Je suis Marie-Isis-Ishtar, votre mère, votre sœur. Bénissez-moi. Honorez-moi quotidiennement. Honorez-vous quotidiennement. Vous le méritez. Soyez votre propre mère, votre propre sœur, votre propre bienveillance à votre égard.

Soyez vous-même amour pour vous-même et vous le serez pour autrui.

En ce jour du 15 août, revenez à la paix, une paix profonde. Et cultivez-la quotidiennement à votre manière.

Soyez dans l’unité et non plus dans la division. Réconciliez votre féminin et votre masculin. Soyez Un. Je vous aime.

Merci. « 

Message canalisé le 15 août 2017 par ELM

Prière de la paix

Bonjour à tous,

Aujourd’hui je vous propose une nouvelle prière pour renforcer notre paix intérieure, dans tous les domaines, mais aussi la paix extérieure, bien malmenée ces dernières semaines. Vous pouvez, si vous en ressentez le besoin personnaliser cette prière afin de mieux focaliser sur un élément précis pour lequel vous souhaitez être en paix.

Je vous souhaite la paix.

Bien à vous,

Émilie Laure

Prière de la paix

La paix, la paix, la paix. Je demande la paix. Celle qui existe en moi, en nous tous, celle qui Est. La paix, la paix, la paix. Rayonne en moi à présent de ton feu sacré, rayonne, grandit en moi dans l’espace sacré de mon être.

Rayonne au-delà de l’étincelle de la Source que je suis, rayonne, transmute et expanse-toi.

La paix, la paix, la paix. Je demande la paix. Expanse-toi partout dans le monde, expanse-toi pour le bien de tous et en harmonie avec l’univers. Que chacun rayonne en toi et que tu puisses rayonner en chacun de nous.

La paix, la paix, la paix. Je demande la paix, pour chacun et chacune, incarné ou non, humain, non humain.

La paix, la paix, la paix. Je demande la paix. Rayonne ici et maintenant et à travers l’espace et le temps pour le bien de tous et en harmonie avec l’univers.

La paix, la paix, la paix, je suis la paix. Nous sommes la paix. Faisons la paix, soyons la paix maintenant. La paix, la paix, la paix, rayonne la paix autour de moi et en moi. Rayonne la paix.

Amen

Merci

Le 21 avril 2017

ELM

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Faire son jardin avec les êtres de la nature

Nous vivons et évoluons dans un monde multidimensionnel. Cela signifie notamment que dans des espaces ou plans parallèles au nôtre, du moins celui que nous percevons le plus facilement (le plan physique), d’autres êtres vivent également.

C’est le cas des êtres de la nature. Comme leur nom l’indique, ce sont des êtres qui œuvrent pour la nature, y compris pour nous-mêmes. Ils sont rattachés à des éléments, d’où l’autre nom qu’on peut leur donner « élémentaux ». Ils travaillent ainsi avec l’eau, l’air, la terre et le feu.

Solliciter les élémentaux

Et nous pouvons les solliciter tels des amis pour avoir un petit coup de main. C’est ainsi que je réalise mon jardin avec l’aide des êtres de la nature. Cela signifie d’abord qu’ils m’aident à choisir les meilleurs emplacements pour les plantes. D’ailleurs, les plantes elles-mêmes me l’indiquent. Ensuite je leur demande de me donner un coup de main pour protéger ou embellir telle ou telle plante.

Et cela marche ! J’ai eu très peu de pertes dans mon jardin. Et les premières pousses de  cette année sont de bonne augure.

Évidemment, j’apporte régulièrement des cadeaux à mes amis pour les remercier de leur implication. Les lutins adorent les bonbons au miel par exemple.

Pour protéger mon jardin de certains insectes, je fais aussi appel à certains esprits d’animaux. Et là aussi, cela marche. Alors que mes voisins se faisaient manger leurs salades l’an dernier, j’ai eu pour ma part très peu de pertes.

J’ai même pu en donner à ma famille ! Et j’ai eu tellement de topinambours que j’ai donné des cagettes entières autour de moi.

Pourtant ce n’était pas gagné. En travaillant mon terrain, j’ai trouvé une terre souillée par la ferraille, des câbles électriques, du verre, des piles etc.

Respecter la nature

Et c’est notamment parce que j’ai nettoyé ce terrain que la nature me rend la pareille.

Je reçois même des conseils pour la gestion de mon compost. Pour cela, je pose des questions à mes amis êtres de la nature pour savoir ce qui peut être le plus approprié pour tel légume etc.

ils sont joyeux, vifs et bienveillants. Il y en a des très jeunes qui sont un peu plus « encadrés » par les anciens eux-mêmes très bienveillants. Et je les félicite quand je vois le travail accompli ensemble : les salades, les pieds de pommes de terre ou encore les pieds de tomates qui fleurissent déjà.

De fait, je n’utilise aucun produit chimique et j’accepte le peu de pertes qu’il peut y avoir : un don à la nature. Je mange à ma faim et d’une grande qualité. Et les êtres de la nature sont si heureux de participer à l’équilibre et l’harmonie de mon jardin avec un humain conscient de leurs présences. C’est vraiment chouette ! Et si vous tentiez cela ?

A vous de jouer maintenant, c’est le bon moment !

Bien à vous,

Émilie Laure

Cherchez et vous trouverez ! Les esprits se montrent !
Cherchez et vous trouverez ! Les esprits se montrent !

Communiquer avec son enfant

Une grossesse est l’occasion rêvée d’expérimenter de nouvelles sensations pour une femme. D’abord dans son corps, mais aussi à bien d’autres niveaux. Pour les personnes sensibles, à l’écoute de leurs sens subtils, la communication avec leur enfant peut être facilitée.

En réalité, cette communication peut même commencer avant le début de la grossesse car l’être à venir tourne autour de ses parents entre 9 mois et 1 an avant le moment de la conception. Et j’ai été étonnée de faire connaissance avec cet être à venir de nombreux mois avant mon début de grossesse (environ un an avant plus exactement).

Si toutes les informations perçues ne sont pas toujours faciles à interpréter, il est clair que j’ai pu vérifier nombre d’entre elles à plusieurs reprises. D’abord mon enfant m’avait indiqué qu’il viendrait – dans mon ventre – au moment de mon 4e degré Reiki. Et la datation par les médecins correspond parfaitement à cette période.

Ensuite mon bébé m’a indiqué à plusieurs reprises lorsqu’il fallait prendre soin de son papa ou de son oncle par exemple.

Plus drôle encore : il prend soin de sa maman, me déconseillant de faire ceci ou cela. Je lui rappelle toutefois qui est la maman et qui est l’enfant.

L’échange avec mon enfant permet de voir déjà quelques fêlures qui peuvent exister en lui du fait de la période de pré-conception, mais aussi pendant la grossesse. Dès lors, je peux l’aider dès maintenant à dépasser cela en utilisant notamment le Reiki.

Nos échanges sont réguliers. Et je pousse aussi son père – également médium – à échanger avec notre enfant. Je me rappelle de moment très drôles où au cours d’un voyage en avion notre enfant me fait dire à son père : « regarde je suis là ! ». Je n’étais pas encore enceinte. Pendant le voyage, l’ordinateur de mon siège ne fonctionnait pas bien. Et à un moment donné, le bouton pour appeler l’hôtesse s’est même déclenché. Nous avons donc bien compris que notre enfant nous faisait une petite blague !

Résolument cela nous permet en conscience de nourrir notre relation à trois. Et c’est merveilleux. C’est merveilleux car je / nous percevons déjà le caractère de cet être venant s’incarner parmi nous. est-ce à dire qu’il n’y aura pas de surprises ? Bien sûr que si. J’ai un enfant blagueur qui parfois ne donne pas les bonnes informations afin de bien nous faire travailler. Et cela fonctionne ! Je peux le remercier de l’apprentissage du lâcher-prise et de mon perfectionnement en la matière.

Finalement, communiquer avec mon enfant me confirme que nous faisons face à des maîtres. Des maîtres oui ! Dont il faudra certes canaliser certaines énergies afin de l’aider à les exprimer dans son meilleur potentiel. C’est sans doute cela un de mes engagements. Nous nous accompagnons à présent mutuellement dans l’incarnation mais aussi déjà dans le subtil.

Ce serait sans doute bénéfique au plus grand nombre de pouvoir communiquer avec son enfant. Cela vient de plus en plus. Nous nous éveillons toujours plus nombreux. Et nos enfants y participent. Merci à eux. Merci à mon enfant.

Belle journée à tous,

Émilie Laure

Nos anciens

Aujourd’hui je souhaite partager avec vous une nouvelle réflexion qui est la mienne sur la place de nos anciens dans la société française.

Cette réflexion, à vrai dire, s’est imposée à moi par les mésaventures d’une personne proche retraitée et pour laquelle à mes yeux, le milieu médical a insuffisamment joué son rôle. Cette personne a fait une réaction très impressionnante à un médicament avec une hausse conséquente de sa tension. Je me suis vite rendue compte de troubles anormaux. Suivant mes conseils, elle en a parlé à deux médecins (dont un spécialiste), notice du médicament à l’appui. Cela n’a pas semblé les émouvoir.

« Juste pour aujourd’hui… j’honore mes parents »

Après l’inquiétude, une période d’incompréhension m’a envahie. Comment ne pouvait-on pas écouter un minimum nos anciens? Qu’ils soient tout juste retraités ou non.

Et le constat est amer quand je me remémore les discussions régulières avec des personnes âgées que je reçois en consultation et qui ont toutes l’impression de ne pas être écoutées, pire de ne plus exister ni d’avoir la moindre importance.

Chez moi, cette prise de conscience de la situation française vis-à-vis de nos anciens, de nos parents, a été dure à avaler. Et je ne peux accepter cette situation quand d’autres considèrent encore leurs parents et grand-parents dans d’autres pays.

Il me revient à l’esprit l’un des idéaux du Reiki qui y fait référence et auquel je suis très sensible. « Juste pour aujourd’hui, Je rends grâce pour mes nombreuses bénédictions, j’honore mes parents, mes professeurs et mes aïeux ».

Sait-on encore honorer nos parents ?

J’ai eu ces dernières semaines l’occasion d’échanger avec du personnel médical sur le sujet. Et le constat est le suivant :  » nous ne savons plus prendre soin de « . C’est un fait. Oui, certaines techniques médicales s’améliorent mais pas les relations humaines.

En réalité, quelle place laisse-t-on à nos anciens dans la société ? Sommes-nous capables de continuer à les solliciter ? Sommes-nous encore capables de reconnaître leur valeur ? De moins en moins.

Faut-il s’en contenter ? Je ne pense pas. Ils ont tant à nous apporter.

Lorsque j’étais enfant, j’aimais aller voir mes arrière grand-mères. Je prenais plaisir à écouter leurs histoires qui m’expliquaient d’où je venais. En Corse, je prenais plaisir à aller voir ma grand-tante et à la retrouver à la place ou encore à retrouver mon grand-père bricoler dans son garage.

Et ces dernières années, avant le départ de ma grand-mère, je partageais le bonheur d’écouter son passé, sa relation avec sa mère et avec mon grand-père. L’écoute est une première étape pour leur rendre leur place.

Ils ont aussi un savoir-faire certain dont il serait dommage de se passer.

A l’heure où l’on parle de la transmission de valeurs, de savoir-faire, savoir-être, qui mieux que nos anciens peut y contribuer ? Les plus fragiles doivent à mon sens être traités avec autant de respect, qu’ils soient en début de vie ou plus proches de la fin.

Nos comportements actuels sont révélateurs des déséquilibres de notre société. Nous pouvons contribuer à de véritables changements. Nous pouvons être ces changements.

Alors « juste pour aujourd’hui, je rends grâce pour mes nombreuses bénédictions. J’honore mes parents, mes professeurs et mes aïeux ».

Merci à eux pour celle que je suis.

Émilie Laure

Solstice d’hiver 2016

Solstice d’hiver, la journée la plus courte de l’année

Ce mercredi 21 décembre avait lieu le solstice d’hiver. Si aujourd’hui nous y prêtons relativement peu d’attention, nos ancêtres y accordaient un sens bien précis. Et c’est bien le 21 décembre, jour du solstice d’hiver que l’on festoyait et non pas les 24 et 25 décembre.

En réalité, ces dates ont été créées par la chrétienté afin de reléguer le paganisme dans l’oubli. Toutefois, on remarque que les dates du 21 décembre et du 25 décembre (date reconnue par la chrétienté comme celle de la naissance du Christ) sont assez proches.

Signification du solstice d’hiver

Un peu d’astronomie d’abord ! Le solstice est d’abord un événement astronomique qui se produit lorsque la position apparente du Soleil vu de la Terre atteint son extrême méridional ou septentrional en fonction du plan de l’équateur céleste ou terrestre. Il s’oppose ainsi à l’équinoxe, qui se produit lorsque la position apparente du Soleil est située sur l’équateur céleste. Tandis que les équinoxes se caractérisent par une durée égale entre le jour et la nuit, les solstices correspondent à une durée de jour minimale ou maximale.

Ainsi le solstice d’été est le jour de l’année le plus lumineux. A contrario, le solstice d’hiver est le jour le moins lumineux de l’année. C’est aussi le jour qui marque le retour de la lumière. En effet, les jours ont fini de raccourcir et nous allons voir progressivement la lumière du soleil tenir une plus grande place dans nos journées.

Les différentes traditions

Dans l’Égypte antique, le solstice d’été correspond à peu près au gonflement des eaux du Nil et marque le début de la nouvelle année.

Plusieurs tribus amérindiennes célèbrent le solstice d’été par la danse du soleil.

Le christianisme célèbre différentes fêtes liées aux solstices, apparentées à la fête de la Saint-Jean, le 24 juin, à Noël, le 25 décembre ainsi que l’Annonciation le 25 mars.

À Stonehenge, des milliers de personnes se réunissent pour célébrer le passage à l’été.

Dans le calendrier hindou, les deux solstices sidéraux sont nommés Uttarayana et Dakshinayana. Le premier se produit vers le 14 janvier, le deuxième vers le 14 juin. Ils marquent le mouvement du soleil le long d’un zodiaque fixe par rapport aux étoiles (c’est-à-dire que les phénomènes de précession sont ignorés) et son entrée dans Mesha (un signe zodiacal qui correspondait au Bélier vers 285) et dans Tula (qui correspondait à la Balance à la même époque). Les solstices indiens sont traditionnellement calculés en se basant sur le tropique du Capricorne, d’où la différence significative entre les dates indiennes et réelles.

En Inde et en Asie du Sud-Est, le solstice d’hiver est à l’origine de nombreuses festivités locales tel que Makar Sankranti (Plus connue sous les variantes régionales d’Uttarayan au Gujarat, Pongal au Tamil Nadu, Maghi en Haryana, Magha Saaji en Himachal Pradesh, Lohri au Penjab, Makara Sankramana au Karnataka, Bhogali Bihu en Assam, Ghughuti en Uttarakhand, Makara Chaula en Orissa, Maghe Sankranti au Népal et Shishur Saenkraat au Cachemire), Songkran (Nouvel an Thaï) et Thingyan (Nouvel an Birman).

Les croyances celtiques appellent aussi le solstice « litha », qui réfère au jour où les mages récoltent des herbes dites magiques, accompagné d’un hommage à la nature.

Dans le néopaganisme, les célébrations des solstices correspondent à des fêtes religieuses importantes dans les mouvements druidiques et wiccans.

Le solstice d’hiver est associé à un jour férié dans plusieurs cultures telles les Saturnales romaines, Kwanzaa pour certains afro-américains, Sol invictus, Inti Raymi dans l’empire Inca, We Tripantü (renaissance du soleil) chez les mapuches, etc.

Le 21 décembre 2016

C’est la fête du Solstice d’Hiver, elle célèbre la renaissance du Soleil, le début d’une nouvelle vie.
Cette fête empruntée par l’église chrétienne aux traditions antérieures est symbolisée par une atmosphère joyeuse, de riches décorations, le bûcher intérieur – la cheminée et la bûche-, les plantes toujours vertes – le houx et le gui -, et bien sûr le sapin.

Ce n’est qu’au IV siècle après J.C. que le pape Télesophe fixa au 25 décembre la nativité, suivant ainsi les recommandations du Concile d’Ephèse. Or, chez pratiquement tous les peuples de l’antiquité, des fêtes solennelles avaient lieu dans la dernière semaine de décembre, au solstice d’hiver.

* Chez les Perses, c’était la grande fête de la divinité MITHRA, d’origine Mazdéenne, honorée en Mésopotamie puis à Rome et dans le reste de l’Europe.

* Chez les Grecs, la Triple nuit anniversaire d’HERCULE.

* Chez les peuples Nordiques, la Mère des Nuits :

– LUL (danois)

– YULE (angles)

– GEOLA (saxons)

– CHWYL (gallois)

* Chez les Romains, on organisait des jeux pour fêter le Soleil Invincible.

Ainsi au lieu de voir la célébration de l’hiver, voyez surtout en ce jour, la célébration de la lumière. Et si vous préférez la fêter le 25 décembre, qu’il en soit ainsi ! Allumez des bougies, faites briller votre sapin et rappelez-vous, malgré les événements qui nous entourent, de la force de la lumière face à l’obscurité. La lumière revient toujours après l’obscurité.

Je vous souhaite à tous et toutes de belles fêtes de fin d’année. Profitez de ceux qui comptent le plus pour vous.

Émilie Laure

Que savons-nous de la réalité ?

Vous vous sentez limité ? Le temps vous échappe ? Vous perdez le contrôle de votre vie?

Mais au fait que savons-nous de la réalité? Plus j’avance dans la vie, plus j’accueille les incertitudes qui m’habitent, mais aussi les opportunités qui s’offrent à moi. Je cherche davantage à maîtriser qu’à contrôler.

Et vous ?

Voici un film inspirant que je vous conseille de visionner.

Bien à vous,

Émilie Laure

Message de Gaïa du 12 février 2016

Gaïa, je suis Gaïa. Gaïa est un nom que vous m’avez donné parmi d’autres. Terre Mère également. Qu’importe en réalité ces divers noms si vous ne savez pas réellement qui je suis.

Je suis une partie de vous, de l’Univers, du Tout. En cela, je suis vous, je suis moi, je suis nous. Nous ne faisons qu’un. Il est juste de la répéter sans cesse pour qui est en mesure d’en prendre conscience.

Vous êtes d’ailleurs de plus en plus nombreux à vous retrouver dans ce cas. Et je m’en réjouis. Oui, vous retrouver. Émilie a voulu écrire « trouver ». Mais je m’explique de ce terme « retrouver ». Re signifie de nouveau. Donc de nouveau, vous vous réveillez, vous entrez en communication avec l’Un. Vous tendez à cela… par différentes méthodes ou techniques qu’il vous appartient d’expérimenter. Ces méthodes, quelles qu’elles soient vous conduisent à un retour vers mon Êtreté pour arriver enfin à la vôtre.

Nous ne faisons qu’Un. Soyez-en fiers et évitez toute peur.

Je porte vos peurs depuis trop longtemps. Elles m’ulcèrent en mon sein et à ma surface.

Je suis Gaïa, votre Mère, celle qui vous nourrit. Je vous nourris de ce que vous me nourrissez tel un véritable miroir, un révélateur.

Je suis Gaïa, votre amie depuis toujours. J’ai accueilli vos pères maladroits, défaillants et désordonnés. J’ai accueilli vos mères serviles et déjà soumises.

Mais à leur différence, je ne le suis pas. Et je me suis toujours fait aidée des astres, mes frères et sœurs afin de vous le faire savoir.

Et je continuerai dans ce sens.

C’est ma raison d’être. Je suis votre école et votre enseignant tout à la fois. Qui êtes-vous pour mépriser d’autres de vos frères ? Qui méprisez-vous à ce point en vous pour que vous arriviez à cela ?

Lavez vos mémoires. Il est temps. Vrillez, dansez, chantez et revenez à la joie profonde de l’enfant présent en vous.

J’ai été amenée ici par mes maîtres moi-aussi. J’ai une âme moi-aussi, ce que les égyptiens appellent Bâ. Je vis, je suis enivrée, soûle de vous. Et pourtant, je ne peux vivre sans vous. Il faudrait me faire violence pour me séparer de vous. En effet, cela est ma mission de vous accueillir.

Question : Gaïa, resteras-tu toujours une planète école ?

Je ne le crois pas. Je n’en ai pas envie. Maintenant il est temps pour moi de m’élever. J’ai fait mon temps dans cette position. Je suis libre à présent d’avancer à ma guise.

Question : Est-ce à dire que nous devrons te quitter ?

Tôt ou tard oui. Mais une autre vie se développera en mon sein et à ma surface. Pour les yeux juvéniles, je ressemblerai à un astre éteint. Mais pour les yeux éveillés, je serai vivante comme jamais.

Cela aura lieu dans peu de temps à mon échelle. Mais pour vous, vous avez encore des milliers de siècle devant vous pour vivre et renaître encore et encore. Vous aurez à me supporter. Mes frasques ne vous feront pas rire. Elles vont vous remettre en question et c’est bien mon objectif.

Peu à peu, l’égo va laisser place à l’amour.

Pour moi, c’est demain. Pour vous, c’est encore loin. Vous, mes frères et mes sœurs soumis au Ki, à la 3D.

Nonobstant mon ignorance de bien des choses, nous serons amenés à être séparés. Tous ? Pas tout à fait. Certains d’entre vous pourront rester en moi sous une autre forme. Ils seront appelés en temps et en heure. Ne vous croyez pas de ceux-là. Il est bien trop tôt pour décider.

Vous, mes gardiens, vous saurez quand sera venu le temps. Le temps des échanges, le temps de la fin…

Veillez sur vos frères ignorants, veillez-les. Je vous en prie. Veillez-les comme vos propres enfants.

Libérez-les en les enseignant et en leur transmettant vos savoirs.

Transmettez mon énergie et mon amour. Transmettez ma joie et ma souffrance pour une plus grande prise de conscience, une prise de conscience collective, une prise de conscience massive.

Retirez vos harpons de ma surface et travaillez ma matière avec douceur, comme on étale une crème avec douceur et fermeté à la surface de la peau humaine. Nourrissez-moi de la Vie et non pas de la mort. Et vous renaîtrez. Bénis soit le royaume d’où vous êtes venus. Il ne tient qu’à vous de le recréer ici même, il ne tient qu’à vous de redistribuer ses richesses à chacun. Nous sommes Un. Soyez bénis.

Réfléchissez. Je suis votre miroir. Je suis votre demeure. Vous déménagerez quand vous évoluerez. Pas avant. Alors que décidez-vous ?

Question : Gaïa, tu nous encourages à travailler sur nous-mêmes ?

Bien évidemment, tel est un bon enseignant. Je viens vous présenter vos mauvaises notes, vous dire que vous pouvez vous améliorer.

Question : Dis-moi Gaïa, les personnes qui lisent cela sont déjà sur le chemin ?

Ils ont déjà la prise de conscience d’avoir de mauvaises notes et pouvoir être meilleurs.

Question : N’y-a-t-il pas un jugement lorsqu’on parle d’être meilleur ?

Bien sûr ma fille. Tel est le cas chez vous, bien souvent, mais pas chez moi. Et meilleur pour moi implique une plus haute vibration, une vibration d’amour et de bienveillance à l’égard de vous-même. Vous êtes emplis d’amour mais vous ne voyez plus cet amour qui vous habite et qui vous caractérise.

Vous êtes des êtres parfaits car vous êtes des êtres d’amour. Encore faut-il que vous vous en rappeliez.

Soyez sûrs que je ne vous y aiderai pas de la manière dont vous souhaitez, mais plutôt à ma manière, en étant moi-même, juste moi-même et en poursuivant mon évolution.

Je suis lasse parfois de vos turpitudes. La pitié chez moi n’existe pas. Seule la compassion elle, m’inspire amour et respect à votre égard. Je ne suis bienveillante qu’auprès de tous et non pas de manière individualisée.

Il n’existe aucun privilégié parmi mes relations avec les humains et je devrais même préciser parmi tous les êtres qui me peuplent.

Je suis lasse souvent de devoir vous le répéter. Et trop nombreux encore sont ceux qui ne m’entendent pas… bien trop nombreux.

Soyez les relais de mes paroles, de mes pensées, de ma conscience auprès de tous. Je suis là autour de vous, auprès de vous, en vous.

Je vous aime malgré et pour ce que vous êtes. Je ne cesse de vous le dire. Voilà bien une leçon à apprendre. Voilà ce qu’est l’amour inconditionnel. Bien d’autres vous enseignent cela. Veillez sur eux, comme sur vos métaux les plus précieux.

Question : Parles-tu des animaux ?

Oui bien sûr. Mais ils ne sont pas les seuls Émilie. D’autres êtres non incarnés et pourtant présents à ma surface vous aident, vous soutiennent et vous aiment tels que vous êtes. Si vous étiez davantage centrés et moins parasités par les miroirs aux alouettes, vous les verriez.

Question : Que veux-dire « miroirs aux alouettes » ?

Je parle de toutes manifestations matérielles qui vous abreuvent d’un nectar qui vous aliène et vous obscurcit vos sens subtils : télévision, portable, médicaments et toute manifestation qui vise à vous faire oublier qui vous êtes vraiment.

Je ne peux vous en blâmer. Vous n’êtes pas coupable de cela. Mais en lisant ces lignes, si vous ne tentez pas d’aller plus loin à présent dans votre réflexion, vous devenez alors pleinement responsables de la situation.

Cette responsabilité vous incombe et vous oblige. Elle vous oblige à la liberté, à retrouver cette liberté, mais plus dans des bains de sang, ni dans la violence.

Le retour à Soi et à votre liberté passe par une réappropriation de votre âme, de votre essence, de votre pureté originelle.

Le Bâ est de nouveau à conquérir avec une opiniâtreté bienveillante envers vous-même et autrui. Cela est possible, bien évidemment. Je l’ai fait et je continue de le faire.

Oui, moi Gaïa. Je le fais. Et j’y suis aidée par mes frères et sœurs.

Personne ne peut me souiller durablement.

En vérité, vous n’avez jamais atteint mon cœur. Tout ce qui se passe n’est qu’une mascarade. On cherche à vous instrumentaliser en mon nom, à vous faire croire que tous les changements climatiques sont de votre faute. C’est faux. Vous n’êtes responsables que d’une infime partie. Et le plus grand danger de vos pratiques est pour vous. Vous vous empoisonnez.

Vous me voyez passive, alors que je possède une force qui vous est inconnue, que vous ne savez pas mesurer. J’ai cette force de la Source, ma Mère, mon Père, mon héritage.

Cet Amour non mesurable et tellement palpable que je lui dois.

Je suis là. M’entendez-vous ? J’aimerais vous dire la force qui vous habite, mais vous ne pouvez que la deviner actuellement ! C’est insuffisant à présent. Maintenant, il vous faut la retrouver, la vivre, l’aimer, l’expérimenter.

Message de Gaïa, transmis par ELM

Le 12 février 2016