Archives de catégorie : chamanisme

Chamanisme : qu’est-ce qu’un animal de force ?

Animal de force / animal totem… Je vous parlerai ici d’animal de force ou de pouvoir en chamanisme, comme me l’a enseigné mon ami Yvan Cordier, et non pas d’animal totem. De quoi s’agit-il ? Pourquoi travaille-t-on avec un animal de force ? Que pouvez-vous faire avec votre animal de force ?

Animal de force, définition

De nombreux sites sur internet vous proposent et expliquent que vous avez un animal totem en évoquant l’animal de force. Dans le chamanisme, il existe toutefois une différence entre l’animal totem et l’animal de force. L’animal de force est un esprit qui vous est propre. Il est un allié puissant qui représente votre principal protecteur, votre principal support dans vos voyages chamaniques.

Connaître votre animal de force vous permet aussi de mieux vous connaître.

L’animal totem est une appellation que l’on doit aux Amérindiens. L’animal totem correspond en quelque sorte à votre signe astrologique. Dans ce cas, cela signifie qu’il est lié à votre date/période de naissance.

A contrario, votre animal de force vous étant personnel, une personne étant née le même jour que vous peut très bien avoir un animal de force différent du vôtre.

Voir aussi : https://emilie-m.net/developper-des-relations-avec-les-esprits-dans-le-respect/

Pourquoi travailler avec votre animal de force ?

Votre animal de force est l’allié indispensable lors de tous vos voyages chamaniques. Il est vous. Travailler avec votre animal de force, c’est vous permettre de vous reconnecter à vous-même. C’est vous permettre de devenir réellement vous-même. Comment ? En apprenant d’abord à connaître votre animal de force. Il ne s’agit pas seulement de chercher des caractéristiques de cet animal sur internet. Il s’agit de le rencontrer lors de voyages chamaniques : comprendre son caractère, ses particularités.

Vous pouvez aussi aller l’observer dans la nature ou dans des parcs animaliers s’il s’agit d’une espèce protégée. Comprendre son fonctionnement, c’est comprendre votre fonctionnement, vos dynamiques. C’est accueillir avec bienveillance les différentes parties de vous-même.

Que faire avec votre animal de force ?

Comme je l’ai décrit plus tôt, votre animal de force est indispensable à tout voyage chamanique si vous souhaitez revenir entier et protégé. Il est votre protecteur, votre conseiller lors de vos voyages, si tant est que vous l’appelez.

Vous pouvez aussi l’honorer, d’abord en allant le voir (en voyage, comme sur son lieu de vie si cela est possible), mais aussi en réalisant/achetant une représentation de votre animal pour le placer sur votre autel personnel.

Le chamanisme constitue à mes yeux une voie initiatique profonde si vous lui consacrez du temps et avec régularité. Lorsque vous honorez votre animal de force, c’est une partie de vous-même que vous honorez. Le chamanisme est une voie d’apprentissage par l’expérimentation.

Voir aussi : https://emilie-m.net/le-chamanisme-lexperience-de-soi/

Quand vous expérimentez, vous savez à présent que vous n’êtes plus seul. Et ce n’est que le début du chemin !

En conclusion, l’animal de force est un allié essentiel dans toute pratique chamanique, que cette pratique soit régulière ou irrégulière. Il est une partie de vous que vous devez honorer, apprendre à connaître et qui en retour vous protégera, vous conseillera lors de vos voyages chamaniques.

Vous avez encore des questions ou des remarques sur cet article ?

Posez-les en commentaires, j’y répondrai avec plaisir.

Bien à vous,

Émilie Laure

Abonnez-vous à ma page Facebook pour suivre la publication d’articles sur le blog, les annonces d’atelier, de formation, de vente sur les salons : www.facebook.com/emilie.reiki/

Ou retrouvez-moi sur Twitter : https://twitter.com/ReikiEmilie

Ou sur Instagram : https://www.instagram.com/emiliemondoloni/

#chamanisme #animaldeforce #voyagechamanique #animaldepouvoir

Fabriquer des objets symboliques pour se libérer

Quelles que soient les pratiques spirituelles et alternatives, force est de constater que la fabrication d’objets symboliques peut avoir un impact puissant au niveau thérapeutique.Dans cet article, je vous propose d’évoquer cette technique puissante et adaptable à tout âge, qu’il s’agisse de vous libérer de vos émotions, de fabriquer un objet pour travailler avec un esprit par exemple.Je vous propose enfin de faire le lien avec l’art-thérapie.

Fabriquer un objet pour se libérer de vos émotions

Dans mes pratiques chamaniques, les esprits (qu’il s’agisse d’alliés ou d’ancêtres) peuvent vous demander des réaliser des objets afin de vous accompagner dans la libération de vos émotions.Le bâton de parole est un objet chamanique qui est bien connu du grand public et dont on a restreint l’utilité (déjà importante) à celle de gérer les échanges des paroles. Celui qui détient le bâton de parole peut alors dire ce qu’il a sur le cœur. Le bâton de parole peut donc être un outil facilitateur si vous avez des difficultés à exprimer vos émotions.

La ou les personnes sont à votre écoute, à l’écoute de vos émotions. Une autre technique intéressante que j’utilise depuis longtemps pour moi comme pour les enfants, est celle d’utiliser le dessin. Quand les mots n’arrivent pas à sortir, c’est le dessin qui peut aider à exprimer ce qui se joue en vous. Et quand je parle de dessin, il ne s’agit pas nécessairement de quelque chose de beau. Le but est d’exprimer vos émotions là-encore.

Qu’il s’agisse de créer un bâton ou tout autre objet à partir de matériaux ramassés dans une forêt par exemple, vous avez la possibilité de matérialiser l’émotion avant sa transmutation, par une offrande au feu. Pour le solstice d’hiver, c’est un rituel que nous avons pratiqué avec différents amis. Nous avons préparé un bâton : nous lui avons transféré nos peurs. Puis avec amour et gratitude, nous avons remercié l’esprit du feu pour la transformation de ces énergies. Et si vous n’avez pas de cheminée ? Vous pouvez aussi rendre l’objet ainsi réalisé à la terre, dans la forêt par exemple. C’est aussi un rituel que j’ai pratiqué avec ma fille. Pensez alors à apporter des offrandes (fruits secs par exemple) au lieu pour le remercier d’œuvrer pour vous.

Pour en savoir plus : https://emilie-m.net/developper-des-relations-avec-les-esprits-dans-le-respect/

Fabriquer un objet pour travailler avec un esprit

Vous pouvez aussi réaliser un objet pour travailler avec un esprit spécifique ou une énergie spécifique. Le hochet peut être réalisé pour travailler avec un allié spécifique. Récemment, alors que j’ai déjà créé un bâton de parole personnel, mes ancêtres m’ont demandé de créer un bâton de parole pour les enfants abandonnés dans ma ligne. Quel rôle joue cet objet ? Il matérialise un pont entre ces êtres disparus et moi.

C’est un moyen de canaliser et cadrer, tout en reconnaissant les contacts avec ces défunts. Personnellement je travaille beaucoup avec le bois et le dessin. Ainsi j’ai été amenée à réaliser des bâtons pour matérialiser mes relations avec certains de mes alliés et leurs propriétés.Pour honorer l’esprit du cacao comme celui du tabac, j’ai réalisé des dessins. L’objet est ainsi un médiateur entre vous et l’esprit avec lequel vous souhaitez travailler (un allié par exemple). Il est la reconnaissance de la relation.

Voir aussi : https://emilie-m.net/le-chamanisme-lexperience-de-soi/

L’art thérapie, approche thérapeutique

L’art-thérapie s’est d’abord définie comme une technique de psychothérapie reposant sur l’utilisation de divers outils artistiques. Le recours à l’art-thérapie est fréquent dans plusieurs secteurs de la santé. L’objectif de cette pratique est que le patient puisse renouer un dialogue avec lui-même et autrui. Grâce à l’art (peinture, musique, théâtre etc.), le patient s’exprime en laissant sortir ses émotions et souffrances dans un but de mieux-être. Au-delà d’une pratique en lien avec des psychothérapeutes, c’est aujourd’hui une pratique qui est assurée par d’autres spécialistes.

Ce n’est donc pas une psychothérapie. Et la qualité du rendu n’est pas l’objectif de l’approche. L’objectif est bien de renouer avec soi-même, avec son intérieur.

En conclusion, vous pouvez ainsi constater des liens entre les premières pratiques de fabrication que je vous ai décrites plus haut et l’art thérapie. Les pratiques chamaniques proposent de rentrer en contact non seulement avec des parties de soi, mais aussi de réaliser un travail profond de transmutation, et de lien avec des esprits alliés. Toutefois, il faut être invité à réaliser de tels objets par vos alliés ou les esprits eux-mêmes.

L’art-thérapie est une pratique issue au départ de la psychothérapie et qui doit vous aider à exprimer vos émotions.

Vous avez encore des questions ou des remarques sur cet article ?

Posez-les en commentaires, j’y répondrai avec plaisir.

Bien à vous,

Émilie Laure

Abonnez-vous à ma page Facebook pour suivre la publication d’articles sur le blog, les annonces d’atelier, de formation, de vente sur les salons : www.facebook.com/emilie.reiki/

Ou retrouvez-moi sur Twitter : https://twitter.com/ReikiEmilie

Ou sur Instagram : https://www.instagram.com/emiliemondoloni/

Vos organes ont leur mot à dire !

Dans le chamanisme, les esprits sont présents partout (plantes, animaux, monde du milieu, monde du haut ou du bas). Dans notre organe, c’est tout aussi la même chose. Oui les organes peuvent nous parler à travers l’allié qui y est associé. Je vous propose de comprendre pourquoi cette approche peut vous être utile au quotidien pour votre équilibre holistique et l’accompagnement de traitements de certaines maladies.

Les esprits des organes

Chaque organe a un esprit. Cet esprit peut prendre la forme d’un animal, de la même manière que vous possédez un animal de force, un allié spécialiste dans tel ou tel domaine. Pour le connaître, de la même manière que vous vous êtes rendu dans le monde d’en bas pour rencontrer votre animal de force, vous partirez à la rencontre de ce nouvel allié.

Mais pour quoi faire ? En effet, pour les praticiens en chamanisme, on sait que les voyages chamaniques ne peuvent pas et ne doivent jamais être gratuits. Il faut avoir un objectif. Certes cartographier sa roue chamanique est une chose, mais savoir travailler avec ses alliés et ses guides en est une autre. L’exploration doit trouver un sens, comme par exemple le fait d’identifier les conflits entre organes, ou bien comprendre tout simplement où en est l’énergie d’un de vos organes. Pour ma part, je suis allée rencontrer mon allié de mes reins car j’ai une faiblesse à ce niveau-là. Je l’ai perçu comme fatigué. Cela a corroboré mon sentiment sur le sujet. Mais lorsque j’ai voulu observer sa relation avec mon foie, cela a été particulièrement intéressant. Le pont était tout simplement cassé. Les alliés ne pouvaient donc pas travailler ensemble.

Pour aller plus loin : https://emilie-m.net/developper-des-relations-avec-les-esprits-dans-le-respect/

Travailler avec ces esprits pour votre bien-être

Dans le schéma que j’ai précédemment expliqué, j’avais identifié à l’aide d’une praticienne de médecine traditionnelle chinoise un problème sur ces deux énergies : foie (énergie du bois) et reins (énergie de l’eau). J’avais donc obtenu une compréhension d’un problème physique. Mais il me fallait en savoir plus pour accompagner les traitements de cette praticienne. C’est la raison pour laquelle je suis allée rencontrer mes spécialistes de ces organes : quels pouvaient être les barrages au niveau émotionnel et spirituel ?

Ces alliés peuvent ainsi demander une séance chamanique de soin ou donner des pistes d’autres pratiques afin de compléter ce qui est déjà pratiqué dans la matière.

Voir aussi : https://emilie-m.net/le-chamanisme-lexperience-de-soi/

Mettre en place de nouvelles pratiques au quotidien

Le chamanisme est une pratique holistique. Et vos alliés peuvent vous donner des conseils non seulement d’un point de vue spirituel, émotionnel, mais aussi nutritionnel.

Les praticiens qui vous accompagnent peuvent aussi, si leurs spécialités le leur permettent de vous conseiller au niveau de pratiques physiques, pratiques spirituelles, ou encore méditatives.

Une fois un premier contact établi avec ces esprits, comme avec tous vos esprits spécialistes, il peut être utiles de retourner les voir régulièrement afin d’évaluer la progression de vos organes. Comprenez-vous bien les messages. Les mettez-vous correctement en application. Les résultats sont-ils progressifs et positifs ?

En résumé, vos organes ont bel et bien leur mot à dire ! Et c’est par l’intermédiaire des alliés de vos organes que vous pouvez les écouter, identifier la nature du problème d’un point de vue chamanique et accompagner des traitements médicaux par des pratiques complémentaires : sport, nutrition, méditation etc.

Vous avez encore des questions ou des remarques sur cet article ? Posez-les en commentaires, j’y répondrai avec plaisir.

Bien à vous,

Émilie Laure

Abonnez-vous à ma page Facebook pour suivre la publication d’articles sur le blog, les annonces d’atelier, de formation, de vente sur les salons : www.facebook.com/emilie.reiki/

Ou retrouvez-moi sur Twitter : https://twitter.com/ReikiEmilie

Ou sur Instagram : https://www.instagram.com/emiliemondoloni/

Développer des relations avec les esprits dans le respect

Quelle que soit votre pratique spirituelle, vous développez sans doute des relations avec des esprits, des déités. Ou peut-être souhaitez-vous le faire… Cet article vous rappelle que cela ne se fait pas à la légère et qu’il est nécessaire de présenter « patte blanche », avec humilité lorsque vous souhaitez accéder à un tel type de contact. Comment peut-on définir une telle relation ? Sur quels sujets échanger ? Quelles sont les règles à respecter pour travailler avec l’invisible ?

Les relations avec les esprits

De nombreuses énergies invisibles vivent autour de nous quotidiennement. Et nombreuses sont celles aussi qui souhaitent entrer en contact. Celles-ci peuvent être bienveillantes et d’autres moins.

Quand il s’agit de développer des relations avec les esprits, on choisira de le faire avec des énergies bienveillantes. Encore faut-il les reconnaître ! Car certaines se font passer pour des énergies bienveillantes mais ne le sont pas.

Ce qui a toujours animé la majorité des êtres humains dans cette proximité avec les esprits est une amélioration du quotidien : emploi, vie personnelle/familiale/amoureuse, projet, santé etc.

Vous pouvez échanger avec les esprits pour dépasser vos peurs ou progresser dans de nombreux domaines de votre vie. Si vous souhaitez progresser sainement, faites des demandes simples, positives, pour le plus grand bien de tous et en harmonie avec l’univers.

Et soyez prêts à travailler sur vous-même. Si vous êtes juste dans votre demande, vous avancerez avec l’aide des esprits à vos côtés.

Respecter, ne rien forcer

L’une des clés de la relation que vous nouez avec les esprits (vos ancêtres, vos guides, déités etc.) est de respecter leurs silences, leur manière de s’exprimer.

Voir aussi : https://emilie-m.net/pourquoi-vos-guides-utilisent-ils-un-langage-code/

Si vous n’obtenez pas la réponse que vous souhaitez, cela a forcément un sens.

Plus vous insisterez, plus vous risquerez de recevoir des réponses erronées ou émanant d’autres esprits.

Lorsque je réalise des séances de médiumnité, les défunts font part parfois de leur mécontentement d’être trop sollicités. Les esprits peuvent vous conseiller. Mais rappelez-vous que c’est à vous de transformer l’essai dans la matière. C’est vous qui êtes incarné !

Demandez-vous toujours dans tous les cas si votre démarche est juste (pour le plus grand bien de tous et en harmonie avec l’univers) pour vous et autrui.

Pas d’engagement à la légère

Lorsqu’un esprit vous demande de mettre en place une action, ne prenez aucun engagement à la légère. Demandez-vous d’abord si cela est juste et bon pour vous. Voyez si vous avez vraiment la possibilité de le faire. Attention aux esprits de la nature. Ils peuvent être farceurs !

Attention à ce que l’échange soit équitable. Récemment une fée m’a demandé de planter un arbre chez moi. Elle ne m’a pas indiqué la taille de l’arbre mais juste son essence. J’ai respecté la demande. Je pouvais le faire (facilité de répondre à la demande).

Voir aussi : https://emilie-m.net/les-etres-de-la-nature-des-etres-subtils-au-service-de-tous/

Dans certaines cultures et dans certains lieux, manquer de respect aux esprits peut avoir de lourdes conséquences. Au Népal, les nagas sont des énergies très respectées et puissantes. Lors d’un stage avec un maître népalais, celui-ci nous a expliqué comment les nagas avaient exprimé leur colère après que certains n’aient pas respecté leur habitat.

Et aussi : https://emilie-m.net/travailler-avec-les-deites-serpents/

Pour ma part, je me suis rendue en Corse récemment. Mes ancêtres m’avaient demandé de venir pacifier la relation de la famille avec les esprits des montagnes. Ceux-ci sont très puissants. Même si le chamanisme corse n’a pas l’envergure et la puissance du chamanisme népalais et de bien d’autres traditions, les esprits restent puissants. Et ils demandent à être reconnus et respectés dans leur véritable essence.

Nous ne faisons qu’un !

Chacun sa place ! Les esprits ont un rôle à jouer dans l’équilibre de la vie, de la création, de l’espace qu’ils peuvent occuper. Nous ne sommes pas là pour prendre leur place. Lorsque nous exploitons une mine sur un lieu dédié à des déités, c’est normal qu’ils soient en colère.

Si nous n’avons pas respecté un accord passé avec eux, c’est aussi normal qu’ils puissent se sentir offensés. Ne le seriez-vous pas à leur place ?

Mais quand nous intervenons à leur demande, rappelez-vous que nous intercédons dans la matière à un niveau où ils peuvent avoir besoin de nous. Cela a été mon cas pour mes ancêtres. L’un des descendants devaient matérialiser les excuses qu’ils souhaitaient réaliser et nourrir de nouveau une relation saine avec les esprits des montagnes.

Nous ne faisons qu’un. Aussi lorsqu’un membre d’une famille ou d’un groupe est défaillant, c’est tout le groupe qui porte la responsabilité de cette défaillance. Nous devons être respectueux les uns des autres, dans le monde visible matériel et les mondes invisibles.

En conclusion, les relations avec les esprits demandent un travail respectueux, sincère et honnête. C’est un travail pour notre progression personnelle et celle de ceux qui nous entourent. C’est un travail en conscience et dans l’acceptation de ne pas tout savoir. C’est un travail d’écoute, de soi, de l’autre… et se rappeler que nous ne sommes qu’un !

Vous avez encore des questions ou des remarques sur cet article ? Posez-les en commentaires, j’y répondrai avec plaisir.

Bien à vous,

Émilie Laure

Abonnez-vous à ma page Facebook pour suivre la publication d’articles sur le blog, les annonces d’atelier, de formation, de vente sur les salons : www.facebook.com/emilie.reiki/

Ou retrouvez-moi sur Twitter : https://twitter.com/ReikiEmilie

Ou sur Instagram : https://www.instagram.com/emiliemondoloni/

Comment un prénom influence-t-il votre vie ?

Nous sommes tous à la recherche de notre chemin, de notre vérité, pour développer le meilleur de nous-même.

Il est des vérités que l’on peut essayer de lire à travers les signes. Je vous propose ici de nous intéresser au rôle, à la place de nos prénoms dans notre vie.

Par ailleurs, attention lors de ces lectures. Parfois plusieurs filtres sont nécessaires pour obtenir des réponses relativement complètes : la symbolique d’un prénom, l’étymologie, le transgénérationnel aussi.

Une fois une première prise de conscience mentale, il s’agit d’aller dans son cœur, au contact de son âme pour lire les blessures, comprendre celles qui nous appartiennent, de celles qui ne nous appartiennent pas pour les transmuter et… revenir au processus alchimique.

Parfois nous portons plusieurs prénoms, parfois un seul, parfois le diminutif d’un autre.

La symbolique de votre prénom

Lorsqu’il s’agit d’un diminutif, il faudra vous intéresser au prénom d’origine : Mimi pour Michel, Mireille… ? Et dans un diminutif, on veut réduire. Mais que veut-on réduire ou adoucir en donnant ce prénom ? Un prénom peut revêtir une symbolique universelle, familiale, locale.

Universelle : on s’intéressera à l’étymologie, les origines latine, grecque, juive, arabe etc. Et pourquoi pas s’intéresser aux saints, anges reliés à ce prénom (suivant votre culture).

Locale : il peut y avoir des histoires autour d’une personne ou d’un personnage portant votre prénom (en positif ou négatif). En positif, quelles sont les attentes que l’on peut avoir à votre égard ? En négatif, quel poids, personnalité, vous fait-on porter et plus ou moins inconsciemment vous demande-t-on de réparer ?

Familiale : dans de nombreuses régions de France et du monde, on a donné et donnons encore les prénoms d’ancêtres ou de parrains-marraines. S’il peut y avoir le sentiment d’apporter une protection à l’enfant, il y a surtout le poids de la représentation de la personne (héros de la famille, paria de la famille, patriarche, matriarche, guérisseur/se etc.).

Voir aussi : https://emilie-m.net/conquerir-votre-liberte/

Le transgénérationnel à travers votre prénom

Consciemment ou non, on repasse « une patate chaude » à celui qui porte ce ou ces prénoms.

Ceci dit, l’univers peut sans prénom issu de la famille trouver d’autres signes pour faire porter le transgénérationnel : fête du saint qui correspond à une date de naissance ou de mariage par exemple.

Mais revenons à ces « patates chaudes ». Dans de nombreuses familles, soit on glorifie, soit on assombrit quelqu’un… sauf que nous sommes des êtres ambivalents. Cela signifie donc à mon sens que l’héritage du transgénérationnel l’est aussi : quelles forces nous sont transmises ? Quelles forces devons-nous acquérir pour nous et les générations à venir ? Pourquoi ne parle-t-on pas de telle arrière grand-mère ? En enquêtant ou simplement en écoutant les histoires de famille, vous découvrirez peut-être qu’elle préférait telle petite-fille, qu’elle n’a pas su soutenir son autre enfant face à ses difficultés. Cela vient expliquer un problème pour trouver sa place, problème que l’on trouve sur plusieurs générations.

Cela peut aussi expliquer une blessure de trahison et son expression : contrôle, jalousie, possessivité etc.

Rappel sur la blessure de trahison : https://emilie-m.net/le-besoin-de-verite-dans-toute-relation-authentique/

Si l’on donne le prénom de l’enfant blessé à son propre enfant, la blessure de l’ancêtre aura alors la possibilité de s’exprimer plus facilement d’autant plus si elle entre en résonance avec celle de l’enfant.

Guérir les blessures de ses ancêtres pour se guérir

En vouloir à ses ancêtres ou ses parents pour le poids que l’on porte me semble injuste. Le transgénérationnel n’est qu’une partie du problème. En vérité, c’est une opportunité – certes très inconfortable – d’acquérir une énergie que nous ne maîtrisions pas jusqu’à présent… si nous croyons aux vies antérieures ou non. De mon point de vue, tout se recroise (vie actuelle, vies antérieures, transgénérationnel etc.).

Mais revenons à nos ancêtres. Il nous faut enlever ces couches de souffrance et les libérer.

Les outils sont nombreux : reiki, chamanisme, constellation familiale… C’est aussi envoyer de l’amour à des êtres, enfants/adultes, qui ont été mal aimés. C’est leur permettre de retrouver leur juste place et votre juste place.

Voir : https://emilie-m.net/vous-liberer-de-vos-memoires-familiales/

Trouvez votre place et votre chemin

Ces libérations vous conduisent vers vous-même. Qui est véritablement cette « Emilie » ? Sa personnalité ? Son chemin ? Quelles sont ses envies à elle ? Quelle doit / peut être son expression ? C’est en fait une re-découverte, à chaque instant de soi.

C’est à travers une passion oubliée : vous vous remettez à chanter, à dessiner, à marcher… Vous vous découvrez une passion pour les plantes, pour les autres, les loisirs créatifs… etc.

Cette re-découverte de vous-même passe par des rencontres, des échanges, des sourires… et bien sûr des prises de conscience cruciales.

A découvrir aussi : https://emilie-m.net/decouvrez-votre-voie/

En résumé, un prénom peut influencer votre vie.Il vous appartient d’en comprendre les multiples dimensions et de vous atteler progressivement à lever les barrages énergétiques générés par ce prénom. Vous vous pacifiez progressivement avec vous-même et rencontrez l’être véritable que vous êtes.

Vous avez encore des questions ou des remarques sur cet article ? Posez-les en commentaires, j’y répondrai avec plaisir.

Bien à vous,

Émilie Laure

Abonnez-vous à ma page Facebook pour suivre la publication d’articles sur le blog, les annonces d’atelier, de formation, de vente sur les salons : www.facebook.com/emilie.reiki/

Ou retrouvez-moi sur Twitter : https://twitter.com/ReikiEmilie

Ou sur Instagram : https://www.instagram.com/emiliemondoloni/

#transgénérationnel #symbolique #prénom

Le tabac, plante sacrée en chamanisme

Dans le chamanisme, il n’est pas indispensable d’utiliser des plantes pour voyager. Bien au contraire, le simple son du tambour suffit à vous faire voyager. Pour autant, nous avons des traces de l’utilisation de plantes dans le chamanisme chez différents peuples. Aujourd’hui en Occident, certaines de ces plantes sont très mal utilisées, telle le tabac par exemple. Beaucoup de personnes ont des troubles addictifs avec cette plante, dont l’esprit peut être un puissant allié pour les chamanes.

Les multiples utilisations du tabac dans le chamanisme

Comme l’explique Carmen Bernand, Membre de l’Institut universitaire de France. Professeur à l’université de Paris X-Nanterre (https://www.clio.fr/bibliotheque/pdf/pdf__l_herbe_cordiale_le_tabac_medecine_et_ivresse_chamanique.pdf), « Dans le monde indigène préhispanique le tabac est fumé dans des pipes dont le symbolisme ornemental montre bien qu’il s’agit d’une pratique rituelle, ou sous forme de cigares ; il est également prisé et son jus, extrait des feuilles broyées, peut être encore bu. Il semble que le cigare soit plus répandu en Amazonie alors que la fabrication de pipes est typique de la Cordillère des Andes. Dans tous les cas, quel que soit son mode d’utilisation, le tabac est toujours en liaison avec le chamanisme. Parfois il peut être mélangé à d’autres plantes hallucinogènes comme la datura, le yagé ou des cactus psychédéliques. »

On retient donc que le tabac peut se suffire à lui-même dans les rituels chamaniques. Toutefois, en fonction des traditions, des pratiques, des effets recherchés, il pourra être mélangés à d’autres plantes. A noter aussi : les peuples ayant les connaissances des rituels avec le tabac prennent très au sérieux son utilisation. Et ils connaissent les dangers de ces plantes. Car le tabac peut présenter aussi un danger dans les rituels chamaniques.

Les effets du tabac

« La fumée, dit-on en Équateur, protège contre la « vapeur » de la mort, mais aussi contre tout effluve malfaisant qui s’échappe de la terre, où résident les forces telluriques divinisées. Les mythes Ayoré de la Bolivie orientale font du jaguar le maître du tabac, plante cultivée durant la saison des pluies. « C’est avec le tabac que la connaissance vient aux chamanes à cause de leurs esprits auxiliaires », disent-ils. Le chamane doit boire du jus de tabac concentré sans le vomir : c’est à ce prix qu’il acquerra ses facultés divinatoires et magiques. » ajoute Carmen Bernand.

Le tabac est donc lié à la connaissance et à la protection, selon ces recherches. Pour autant, lorsque vous souhaitez travailler avec une plante, il est conseillé de pratiquer un voyage chamanique pour rencontrer cette plante. Si vous n’avez pas une pratique avancée en chamanisme, ni l’habitude des voyages, faites-vous accompagner. Il s’agit pour vous d’aller au bon endroit, de rencontrer l’esprit de la plante et de savoir quelles sont ses propriétés et comment vous pourrez travailler avec elle.

Le chamanisme n’est pas une balade de santé. Ne croyez pas que les choses seront faciles. Et ne passez aucun contrat malsain. Vous ne serez jamais aussi fort qu’une plante. Rappelez-vous que vous ne faites en réalité qu’un avec la création ! Voir aussi : https://emilie-m.net/le-chamanisme-lexperience-de-soi/

Travailler avec la médecine du tabac

Le tabac en tant que plante sacrée est aussi utilisée comme offrande : lors de cercles chamaniques lorsqu’il y a un feu par exemple ou pas, lors de hutte de sudation… Il peut globalement être utilisé en tant qu’offrande car il s’agit d’une plante sacrée. Cette offrande est donc considérée comme de grande valeur. Attention, préférez offrir du tabac et non pas des cigarettes déjà prêtes. Essayez d’acheter du tabac le moins traité possible aussi.

Ensuite lorsque vous avez rencontré l’énergie du tabac, vous saurez et selon votre propre roue de médecine comment travailler avec cette plante. Rappelez-vous que le chamanisme requiert beaucoup d’humilité. La plante peut accepter de travailler avec vous une fois, mais peut-être pas deux. Ne forcez pas les choses. C’est un manque de respect. Et cela pourrait se retourner contre vous.

En résumé, les utilisations du tabac en chamanisme sont multiples et ne se limitent pas simplement à fumer la plante. Les effets du tabac sont réels et montrent que l’utilisation de la plante doit se faire avec précaution. Enfin et dans la recherche de votre propre médecine, vous pouvez être amené à rencontrer cette plante. Restez humble face à cet esprit et rappelez-vous de votre place dans la création.

Vous avez encore des questions ou des remarques sur cet article ? Posez-les en commentaires, j’y répondrai avec plaisir.

Bien à vous,

Émilie Laure

Abonnez-vous à ma page Facebook pour suivre la publication d’articles sur le blog, les annonces d’atelier, de formation, de vente sur les salons : www.facebook.com/emilie.reiki/

Ou retrouvez-moi sur Twitter : https://twitter.com/ReikiEmilie

Ou sur Instagram : https://www.instagram.com/emiliemondoloni/

#chamanisme #médecinetabac #voyagechamanique

Travailler avec les déités serpents

Les serpents sont souvent des animaux mal-aimés. Vous leur attribuez à tort ou à raison des propriétés négatives. Pourtant plusieurs traditions évoquent un travail régulier bénéfique avec les déités des serpents. Dans la tradition népalaise, il est essentiel de respecter les nagas (serpents) sans quoi ils se mettent en colère.

Plus près de chez nous, c’est de la Vouivre dont il question. Et de nombreuses légendes évoquent celle-ci.

Enfin en Corse, la tradition locale évoque les serpents. Certains sont des messagers pour le foyer.

Les nagas

Le nāga est un être mythique de l’hindouisme, mais le mot veut dire aussi basiquement : serpent.

Les nagas dans la religion gardent les trésors de la nature, sont attachés à l’eau et apportent la prospérité. De nombreux temples en Inde vénèrent une statue de serpent ; le serpent est aussi le symbole de la kundalini.

Les déités de l’hindouisme sont toutes représentées avec des nagas. Shiva lui-même porte un serpent autour de son cou.

Les nagas sont très respectés au Népal notamment où on les honore très régulièrement (plusieurs fois par semaine). En tant que protecteurs de la nature, ils peuvent être très courroucés en cas de désordre dans certains lieux. Lors d’un stage avec Bhola Banstola, celui-ci nous racontait comment un projet de mine avait dû s’arrêter. En effet, ce projet s’était développé dans une zone habitée par les nagas, une zone connue pour cela. Mais les minerais présents en-dessous (des trésors !) avaient attirer les convoitises. Les débuts des extractions ont été chaotiques : casses, accidents, maladies. Finalement, les habitants de la région ont été entendus. Enfin partiellement ! Et les nagas aussi ! In fine, la mine a été déplacée.

Les nagas peuvent apporter protection, santé, prospérité à ceux qui les honore. Ils peuvent aider aux bons développement de vos projets.

La Vouivre

La Vouivre inspire un sentiment ambivalent. On ne sait pas vraiment aujourd’hui dans quelle mesure nos ancêtres ont travaillé avec elle. Elle a laissé derrière elle de nombreuses légendes et parfois encore des festivités.

La vouivre est une créature légendaire présente dans plusieurs pays européens, ayant généralement la forme d’un dragon bipède ou d’un serpent ailé. Elle est souvent censée porter une escarboucle sur le front. Elle est aussi appelée guivre.

Elle est décrite comme un serpent légendaire, gardien de trésors fabuleux, ou jeune fille accompagnée de serpents, douée de pouvoirs fantastiques.

En Franche-Comté, en Bourgogne, dans la Lorraine, on nommait vouivres des serpents ailés d’une grandeur prodigieuse qui gardaient les trésors cachés.

Le mot vouivre vient du latin uipera (serpent, vipère). C’est une bête étrange, avec un corps de serpent et les ailes d’un oiseau. Elle est munie d’un œil unique, diamant fabuleux, l’escarboucle, qui jette une lumière si vive que quand le serpent vole d’une montagne à une autre, on dirait un éclair. Des paysans assurent l’avoir vue traverser les airs comme une barre de feu.

La Vouivre cherche l’eau pour se baigner ou se désaltérer, mais surtout à certains moments. Vous pouvez ainsi la rencontrer au bord d’une rivière par exemple ou près d’une cascade. J’en ai d’ailleurs rencontré une dans les Alpes, il y a déjà quelques années. Elle était la gardienne d’une belle cascade.

Dans les légendes, la Vouivre peut avoir mauvaise réputation et elle inquiète alors beaucoup.

Mais la plupart des récits donnent l’impression qu’elle n’est pas dangereuse tant qu’on ne convoite pas son escarboucle. Dans ce cas, l’issue est presque toujours fatale.

Le mot « escarboucle » est dérivé du latin cabunculum qui désignait le petit charbon, la braise, mais déjà par métaphore, la pierre précieuse qui en avait le rougeoiement. Dans la tradition comtoise, c’est un diamant. Or ce diamant est aussi son œil !

Enfin, il existe des fêtes locales comme à Couches (71). Mais cette fête est plutôt là pour célébrer le fait d’avoir vaincu la Vivre (on l’appelle ainsi !).

« C’est une bête apocalyptique, ayant des caractères de serpent et de monstre de la préhistoire. On raconte que ses méfaits ont été innombrables. Elle a dévoré les enfants, affolé la population, semant partout la terreur. On aurait, paraît-il, essayé de lutter contre elle, par exemple en organisant des battues : toutes les tentatives ont échoué. A chaque combat, elle trouve une parade et dévore ses assaillants. C’est ainsi qu’on fit appel à un magicien appelé  »Yoata ». Il réussit à envoûter le monstre par le doux son de sa flûte et à le conduire jusqu’au four spécialement construit pour le rôtir. Malheureusement, le magicien, abandonné par la population, connaîtra lui aussi le même sort. On trouverait là l’origine de l’expression « la mauvaise foi des Couchois » Depuis, la tradition se perpétue et à travers tous les siècles, il en reste périodiquement l’organisation d’une fête grandiose. »

Source : https://www.mairie-couches.fr/la-legende-de-la-vivre

La dernière fête a eu lieu en 2021.

Voir aussi : https://val-suran.net/legende-de-la-vouivre/

Les serpents en Corse

En Corse, pour enchanter le serpent afin qu’il ne puisse se poser sur l’agriculteur pendant les travaux des champs, dans le Fiumorbu, on adresse une prière à Saint Pierre.

Globalement, le serpent ne semble pas si redoutable, comme en Afrique du Nord, où la peau du serpent est un porte-bonheur. Un reptile peut être l’ami du foyer, ce qui est le cas de la Couleuvre en Corse.

A Serra di Scopamena, une couleuvre vient annoncer, la veille, à la maîtresse de maison, l’arrivée d’un membre de la famille. Elle a fini par en faire partie. Et on ne manque jamais de donner de ses nouvelles aux absents.

Ajoutons que certains auteurs estiment que les Corses sont des descendants des Atlantes et que l’île était sous la protection de la déesse Méduse (femme-serpent), déesse ressemblant étrangement à Naga Kanya (déesse des serpents dans l’hindouisme).

Ce sont les quelques témoignages et dires que l’on peut trouver des traditions corses.

Comme de nombreuses traditions, elle est essentiellement orale. Et surtout le chamanisme corse est aujourd’hui réduit très souvent à la spécialité des voyantes, éventuellement quelques guérisseuses.

Les mazzeris, (hommes et femmes) ont perdu de leur superbe, et avec, une partie de la tradition chamanique locale.

Le lien avec les esprits des serpents n’est certainement plus ce qu’il avait pu être en des temps plus reculés et tel qu’on le trouve aujourd’hui dans l’hindouisme et le Népal.

En conclusion, on reconnaît à travers ces trois traditions (népalaise, franc-comtoise et corse) la puissance du serpent. Chez les népalais, les nagas sont honorés plusieurs fois par semaine. Et l’on fait attention à ne pas les courroucer. En Franche-Comté, on reconnaît la force de la Vouivre tout en la craignant et parfois en la combattant. Enfin en Corse, on peut aller jusqu’à accueillir un serpent comme le membre d’une famille. On lui reconnaît alors un caractère de protection.

Vous avez encore des questions ou des remarques sur cet article ? Posez-les en commentaires, j’y répondrai avec plaisir.

Bien à vous,

Émilie Laure

Abonnez-vous à ma page Facebook pour suivre la publication d’articles sur le blog, les annonces d’atelier, de formation, de vente sur les salons : www.facebook.com/emilie.reiki/

Ou retrouvez-moi sur Twitter : https://twitter.com/ReikiEmilie

Ou sur Instagram : https://www.instagram.com/emiliemondoloni/

Vous libérer de vos mémoires familiales

Dans le travail personnel qui vous anime, vous êtes confrontés à des charges émotionnelles, des croyances, bref d’une manière générale des informations qui contraignent votre cheminement.

Les mémoires familiales sont des informations issues de vos lignées. Celles-ci peuvent bloquer ou limiter votre avancement. Pourtant vous pouvez vous en libérer.

Vos lignées vous transmettent un héritage

Tout est information. Grâce à la psychogénéalogie, les scientifiques ont prouvé l’impact des traumas de vos lignées sur vous et votre famille. Les maladies qui se répètent, les événements, ne sont que la matérialisation d’une information au sein de la lignée.

De la même manière, des familles dont les membres sont doués dans un domaine ou qui réussissent à leur manière recueillent le fruit d’un héritage familial.

Vous êtes tous porteurs d’un héritage : des informations positives comme des informations plus bloquantes. Quelles sont les informations bloquantes issues de vos lignées ?

Voir aussi : https://emilie-m.net/symbolisme-du-6-le-chiffre-de-la-famille/

Les mémoires bloquantes de vos lignées

Ces informations bloquantes peuvent être des fausses croyances que les membres de votre famille se transmettent de génération en génération. Celles-ci peuvent porter sur l’argent, la famille, la vie de couple par exemple.

Il peut s’agir de mémoires d’événements traumatiques : guerre, abandon etc.

Ces mémoires génèrent des informations erronées sur le déroulement de la vie et vous empêchent malgré votre volonté de mettre en place certains de vos projets.

J’ai constaté par exemple la prédominance dans une partie de mon arbre généalogique de nom de famille correspondant à des prénoms. Cela signifie que beaucoup de mes ancêtres ont vécu un abandon. Et c’est la raison pour laquelle la blessure d’abandon est très présente et active dans ma famille. En travaillant progressivement à la fois sur vos mémoires personnelles et les mémoires collectives de votre famille, vous pouvez progressivement vous libérer de ces charges émotionnelles négatives.

Voir : https://emilie-m.net/symbolique-de-leau-et-si-vous-vous-interessiez-a-vos-emotions/

Vous défaire de vos mémoires familiales

Vous êtes incarné pour vivre votre spiritualité dans la matière. Se rapprocher au plus près de l’être divin que vous êtes passe par le fait de vous libérer de vos mémoires sclérosantes : les vôtres et celles de vos ancêtres.

Plusieurs outils sont à votre disposition : reiki, chamanisme, PNL, constellation familiale, etc. Tous ces outils vous proposent des accompagnements pour des libérations progressives.

Il est essentiel que vous compreniez que cette libération ne peut pas être complète en une seule séance.

Vous avez toute la vie pour évoluer, évoluer progressivement à votre rythme, pour avancer sur la voie de votre cœur et de l’être divin que vous êtes.

Pour en savoir plus : https://emilie-m.net/le-reiki-usui-pour-le-traitement-des-troubles-emotionnels/

En somme, les mémoires familiales sont nombreuses tant positives que négatives. Les mémoires négatives sont transmises de génération en génération tant qu’aucun membre de la famille ne les transmutent. Pour vous libérer de ces charges, il existe de nombreux outils vous permettant progressivement de découvrir votre vrai potentiel et pour suivre la voie de votre cœur. Alors je vous encourage vivement à suivre cette voie, la vôtre.

Vous avez encore des questions ou des remarques sur cet article ? Posez-les en commentaires, j’y répondrai avec plaisir.

Bien à vous,

Émilie Laure

Abonnez-vous à ma page Facebook pour suivre la publication d’articles sur le blog, les annonces d’atelier, de formation, de vente sur les salons : www.facebook.com/emilie.reiki/

Ou retrouvez-moi sur Twitter : https://twitter.com/ReikiEmilie

Ou sur Instagram : https://www.instagram.com/emiliemondoloni/

Le chamanisme, l’expérience de soi

Cette tradition plusieurs fois millénaires, le chamanisme, revient depuis plusieurs années sur le devant de la scène. Ses traditions sont multiples et chacun est de plus en plus tenté par sa découverte.

Je me rappelle de ma première rencontre avec ce monde en 2013 : un livre, le son du tambour, une fièvre et en route pour découvrir un premier allié.

Pour autant les livres ne me suffisaient pas. Alors qui choisir pour m’accompagner dans la jungle de ceux se présentant comme spécialistes, praticiens ? J’ai une profonde gratitude pour les rencontres faites ces dernières années et notamment avec Yvan Cordier qui m’a d’abord formé en lithothérapie et m’accompagne dans la voie chamanique.

Comment définir alors le chamanisme ? C’est à travers le prisme de ma courte expérience que je vous propose quelques éléments de réponses dans cet article.

Le chamanisme, l’expérience de soi

En tant que voie d’expérimentation, le chamanisme, tout comme le reiki d’ailleurs, est d’abord une technique pour soi. C’est aussi une technique d’expérimentation. A travers le chamanisme, j’ai l’occasion de m’expérimenter, oui expérimenter ma vie et les choix qui se présentent à moi.

J’ai la possibilité d’expérimenter qui je suis avec mes forces et mes faiblesses et surtout de ne pas en rester là.

J’ai l’occasion d’expérimenter tous les possibles qui se présentent à moi et de laisser la porte ouverte à tous les cadeaux en disant oui.

Et les surprises sont juste extraordinaires quand on arrête de dire non. Seulement il faut être prêt à faire face à ses propres résistances. Et cela peut faire mal parfois de retrouver le chemin du Oui.

Vous passez tous votre vie à fermer les portes, à construire des croyances erronées qui deviennent des vérités que vous ne remettrez pas en cause… des certitudes.

Le chamanisme vous met face à toute l’instabilité, l’inconstance de la vie… l’inconstance en tant que constante… la possibilité que tout puisse bouger à chaque instant.

Et c’est cela le miracle de la vie !

Voir aussi : https://emilie-m.net/trouver-votre-voie-spirituelle/

Le chamanisme, la connaissance de soi

Le chamanisme est aussi une voie de connaissance de soi. A travers les rencontres avec mes guides et mes alliés, je me découvre. Ils sont chacun une facette de moi. Et ils me présentent ainsi toutes les forces qui m’habitent, toutes les possibilités insoupçonnées qui sont les miennes.

Quand je les suis, quand je fais confiance dans ce qu’ils me conseillent, la voie s’ouvre. Ils savent ce qui est le mieux pour moi. Ils me connaissent et me permettent de me découvrir telle que je suis réellement.

Parfois d’ailleurs ils ne se gênent pas pour me bousculer, parce qu’ils savent là où il faut appuyer pour que je fasse bouger mes lignes.

Ils sont des amis, des conseillers, mes forces. Et je prends conscience grâce à eux de celle que je suis.

Le chamanisme, un retour à soi

Plus je découvre les possibilités du chamanisme, plus je découvre ce retour à soi indispensable dans la discipline chamanique.

Pour se guérir, pour être soi, il faut revenir à soi.

C’est ainsi se rencontrer, rencontrer ses peurs, ses croyances, ses propres limitations, ses peines, ses colères.

Le retour à soi n’est pas confortable, mais il est libérateur.

Et après le moment d’inconfort, il y a surtout un renouvellement, une renaissance et enfin soi.

La voie chamanique demande du courage, de l’humilité, de la persévérance. Du courage, il en faut pour accepter d’être responsable de sa vie. De l’humilité, il faut savoir en faire preuve face à la vie, ce qu’elle nous présente au quotidien. L’apprentissage n’est jamais fini. C’est l’histoire de votre vie.

De la persévérance, il en faut pour continuer à avancer face à certaines problématiques très lourdes qui parfois vous touchent depuis des années.

Voir aussi : https://emilie-m.net/le-tambour-pour-se-connecter-a-soi/

Le chamanisme, l’écoute de soi

Pour moi, le chamanisme est aussi une voie qui vous conduit à davantage vous écouter. Lorsque vous réalisez un voyage pour demander conseil à un allié, c’est à une partie de vous-même que vous demandez conseil.

Et c’est bien vous-même que vous allez apprendre à écouter.

Parfois les messages sont si forts qu’ils s’expriment dans la matière sans même passer par un voyage au son du tambour.

Cela nous rappelle la multidimensionnalité de la vie et de notre être. Toutes nos dimensions sont interconnectées à chaque instant : physique, mental, émotionnel etc.

Voir aussi sur la multidimensionnalité : https://emilie-m.net/la-multidimensionnalite-de-letre/

En résumé, suivre la voie chamanique, c’est accepter de s’expérimenter soi-même. C’est aussi apprendre à se connaître avec sincérité pour mieux se dépasser. En cela, cela demande d’être capable de faire un vrai retour à soi. Vous êtes alors pleinement responsable de votre vie.

Enfin suivre la voie chamanique, c’est apprendre à s’écouter soi et se défaire ainsi du regard des autres. C’est être soi.

Vous avez des questions ou remarques concernant cet article ? Posez-les en commentaire et j’y répondrai avec plaisir.

Bien à vous,

Émilie Laure

Abonnez-vous à ma page Facebook pour suivre la publication d’articles sur le blog, les annonces d’atelier, de formation, de vente sur les salons : www.facebook.com/emilie.reiki/

#chamanisme #voiespirituelle #éveil #développementpersonnel

La multidimensionnalité de l’être

Dans votre quotidien, vous avez sans doute pris l’habitude de vous identifier à ce que vous portez, à votre métier, bref à ce que vous incarnez ou pensez incarner dans la matière.

Vous avez ainsi oublié toute votre multidimensionnalité.

Je vous propose ici une présentation de la manière dont cette multidimensionnalité peut se définir, s’exprimer.

Les dimensions de l’être selon les médecines traditionnelles

Dans la médecine conventionnelle moderne, vos médecins (généraliste, spécialiste) vous identifient à votre corps physique, une partie de votre corps, suivant leurs spécialités. Dans les médecines traditionnelles (telles que l’ayurvéda ou le taoïsme), l’être humain est considéré dans sa dimension holistique, autrement dit dans sa globalité (corps, âme, esprit).

Ainsi en Chine, où la médecine traditionnelle s’appuie sur le système des méridiens pour identifier les déséquilibres du système, on a vite compris que ces déséquilibres peuvent s’exprimer de différentes manières (au niveau physique, psychologique, émotionnel).

Pour en savoir plus sur les méridiens voir : https://emilie-m.net/les-meridiens-ce-reseau-ou-navigue-le-qi/

Autrement dit, vous n’êtes pas seulement un corps physique comme l’indique la médecine moderne.

Vous êtes corps, âme, esprit. Vous êtes physique, émotions, spiritualité. Et bien souvent, votre corps physique sert d’intermédiaire pour exprimer un mal-être émotionnel, psychologique ou des croyances erronées.

Les dimensions selon le chamanisme

Le chamanisme est une tradition extrêmement ancienne de médecine. Les plus anciennes traces ont été retrouvées en Europe. Le chamanisme se présente comme une pratique centrée sur la médiation entre les êtres humains et les esprits. C’est le chaman qui incarne cette fonction, dans le cadre d’une interdépendance étroite avec la communauté qui le reconnaît comme tel et pour laquelle il intercède auprès des esprits.

Le chamanisme pourrait se définir comme la voie de l’expérimentation.

Le chamanisme s’appuie sur l’existence de trois mondes : le monde d’en haut, le monde du milieu et le monde d’en bas. Vous pouvez accéder dans ces mondes à des parties de vous-même. Si vous n’avez pas l’habitude de voyager dans ces mondes ou ne savez pas le faire. Faites-vous accompagner par un chaman. C’est son rôle de vous accompagner et ainsi assurer votre sécurité. Ce n’est pas un jeu.

Le Monde d’en haut, c’est celui des énergies purement spirituelles. Le Monde du milieu, c’est celui dans lequel vous vivez en ce moment même, en y ajoutant sa face invisible à l’œil nu (monde non ordinaire). C’est-à-dire que tout ce qui vous entoure est fait d’énergie et communique avec vous sous la forme d’esprit : toutes les plantes, les arbres, les objets, les personnes qui vous entourent sont des esprits. Le Monde d’en bas, c’est le monde lié aux énergies de la Terre. Plus spécifiquement, ces énergies telluriques sont reliées à ce que l’on appelle les “esprits animaux”, les esprits qui guident le chamane dans son voyage chamanique. On les appelle aussi “animaux de pouvoir” ou “animaux de force”. Vous avez tous des animaux de force qui sont des parties de vous-même.

Apprendre à les connaître, c’est vous permettre d’aller plus loin en relation avec vous-même et d’avancer dans votre travail à l’intérieur de vous-même.

Voir aussi : https://emilie-m.net/le-tambour-pour-se-connecter-a-soi/

Les dimensions selon l’angéologie traditionnelle

Un Ange n’est pas un petit bonhomme avec des ailes, c’est un symbole très ancien qui représente la prochaine étape d’évolution de l’être humain; sa capacité de rêver, de voyager dans les multidimensions de la conscience… – Professeurs Kaya & Christiane Muller

Selon l’angéologie traditionnelle, les 72 anges sont donc des états de conscience.

L’Angéologie Traditionnelle vous fournit la liste des qualités et vertus de chaque Ange ainsi que la liste des distorsions humaines afin de vous permettre de comprendre en profondeur Le Code Source de la conscience, le potentiel autant positif que négatif qui réside en vous. En consultant régulièrement ces états de conscience, vous deviendrez familier avec chacun des Anges et cela vous aidera à structurer votre travail intérieur. Ces listes sont d’origine très ancienne et sont le fruit de siècles de travail et de recherches rigoureuses sur le travail de la conscience.

Voir aussi : https://www.ucm.center/fr/info/les-72-anges

Pour conclure, la mutidimensionnalité est aujourd’hui une réalité incontournable pour votre élévation. Elle vous permet de prendre en compte votre dimension holistique pour une meilleure compréhension de qui vous êtes.

La voie chamanique est multidimensionnelle par définition. Et y avoir recours, c’est accepter d’expérimenter la vie et particulièrement toutes les dimensions de votre être, notamment à travers la connaissance de vos alliés.

Enfin l’angéologie traditionnelle est une approche multidimensionnelle qui vous permet de travailler et transmuter des mémoires distorsionnées de cette vie ou d’autres vies.

Vous avez des questions ou remarques concernant cet article ? Posez-les en commentaire et j’y répondrai avec plaisir.

Bien à vous,

Émilie Laure

Abonnez-vous à ma page Facebook pour suivre la publication d’articles sur le blog, les annonces d’atelier, de formation, de vente sur les salons : www.facebook.com/emilie.reiki/